Selon le président de l’Amicale Oumar Ndiaye l’espace commun partagé par ces familles d’horizons différents montre que le danger est permanent sur les sites. «La précarité, la promiscuité, le désœuvrement et la relâche de la surveillance des parents ont eu des répercussions fâcheuses sur la vie et le comportement des enfants et particulièrement des ados qui goutaient ainsi à une certaine liberté, en passant la soirée avec les jeunes de leur âge, se bagarrer ou monnayer pour utiliser les toilettes, obtenir des faveurs ou des dons». Et l’éducateur de poursuivre «au bout de quelques semaines les responsables sont confrontés à de réels problèmes avec de petit délits et écarts de comportement qui polluent la vie au niveau du lieu d’hébergement».
Selon Sud quotidien, l’éducateur spécialisé dénonce le fait que «beaucoup de jeunes filles ont ainsi faits les frais de ce ‘’parcage’’ se retrouvant avec des grossesses non désirés. Des risques de passage à l’acte et surtout des accusations pour viols, agressions, ou harcèlement sont récurrents car on voit dix familles partager une salle de classe. Attendons de voir d’ici des mois», déplore ce dernier.
Selon Sud quotidien, l’éducateur spécialisé dénonce le fait que «beaucoup de jeunes filles ont ainsi faits les frais de ce ‘’parcage’’ se retrouvant avec des grossesses non désirés. Des risques de passage à l’acte et surtout des accusations pour viols, agressions, ou harcèlement sont récurrents car on voit dix familles partager une salle de classe. Attendons de voir d’ici des mois», déplore ce dernier.