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Le «radeau de la méduse» à TOUBA: Les soufis appellent le Président à ne pas s'intéresser au "baratin des rescapés" ! (Par Serigne Fallou Dieng)


Rédigé par leral.net le Mercredi 13 Avril 2016 à 23:27 | | 6 commentaire(s)|

Le cercle des intellectuels soufis exhorte le chef de l'Etat et appelle le président Sall, à une lecture lucide et attentive à la «révolution copernicienne » qui s'père actuellement à TOUBA.
Ce qui le permettrait de corriger «ses maladresse politique» vis-à-vis de TOUBA, mais aussi de couper les « folle herbes » qui parasite sans «vivier politique» ou «bagage intellectuel», afin de pouvoir «briser le plafond de verre » qui enserre depuis toujours sa «formation politique » à TOUBA.
Le décor politique à TOUBA, ressemble —à bien des égards —au « radeau de la méduse » dont les rescapés cherchent à se réhabiliter par des« commentaires fantaisistes».
Mais à noter également que, le sanction catégorique du "référendum " a servi du cache-sexe aux querelles intestines larvées et aux contestations musclées au seins de la Famille Mbackée.

Ces dissensions ont pour implication, l'efflorescence des entités religieuses sans «desseins collectif » mais disposant de très" bon compte " au sein des masses mourides et que —bien étendu— ces «entités religieuses foisonnantes» portent des revendication religieuses et statutaire dans le gestion du bien commun.
Un examen approfondi justifie d'espèce un changement de paradigme politique.


Autrefois rayonné par une «conscience religieuse » mouride, fondée autour des valeurs de socialité, à une tradition d'obéissance ,d'appartenance sociale , et de dévotion morale, TOUBA, fait figure d'une Chancellerie de «bien-pensance soufie» considérée comme l'antidote par excellence, de tout genre de radicalisme et de violence en raison de conviction religieuse. mais aussi— à ne pas s'y tromper — au sein des mouvances soufie , TOUBA représente une obédience n'en fait pas moins office «d'un gendarme» pour la socialisation, et mobilisation des masses mais aussi pour la mobilisation et l'apaisement des esprits.

Certes beaucoup des observateurs étrangers, pensent que TOUBA, serait dans le viseur de Paris (France) qui dessine «une cartographie dynamique» dès frère musulmans et du radicalisme religieux de manière générale, pour couper les «passerelles idéologiques» .
mais la réalité du terrain montre que TOUBA, reste de marbre et impassible aux sirènes de «menace Djihadiste » et d'attentat islamiste. Et ce n'en déplaise aux carillons fêlés des «cuistres des plateaux télé» et autre « Hassen chalghoumi», et «Rachid benzine» tropicaux

Serigne Fallou Dieng
Président du cercle des intellectuels soufis