Le tailleur Mamoudou Diallo, âgé de 20 ans et domicilié au quartier Gourel Diadié, n’a aucun respect pour sa mère, F. Doumbouya. Il prend du plaisir à la bastonner, alors que les jeunes de son âge ne cherchent qu’à avoir la bénédiction de leur maman.
Cette fois-ci, Mamadou a poussé le bouchon trop loin. Le jeune tailleur revient à la maison la nuit de la «Tamkharite» et réclame à sa maman son plat de couscous. Celle-ci, en bonne mère de famille, lui indique l’emplacement du plat qui avait été entamé. En état d’ébriété, Mamoudou voit rouge et lance à sa maman qu’il n’est pas là pour manger des restes. Puis, il s’acharne sur elle en la rouant de coups de poing qui envoient sa maman au sol.
Face au danger que représente son fils, la mère prend son courage à deux mains et s’en ouvre aux pandores de la Brigade de recherches de Tambacounda. Cueilli, Mamoudou avoue les faits à lui reprochés et sollicite le pardon. Il a été déféré, hier mercredi 05 novembre 2014. Seul dans sa cellule, il saura qu’à défaut de venir en aide à ses parents, il se doit de les laisser en paix.
L'Observateur
Cette fois-ci, Mamadou a poussé le bouchon trop loin. Le jeune tailleur revient à la maison la nuit de la «Tamkharite» et réclame à sa maman son plat de couscous. Celle-ci, en bonne mère de famille, lui indique l’emplacement du plat qui avait été entamé. En état d’ébriété, Mamoudou voit rouge et lance à sa maman qu’il n’est pas là pour manger des restes. Puis, il s’acharne sur elle en la rouant de coups de poing qui envoient sa maman au sol.
Face au danger que représente son fils, la mère prend son courage à deux mains et s’en ouvre aux pandores de la Brigade de recherches de Tambacounda. Cueilli, Mamoudou avoue les faits à lui reprochés et sollicite le pardon. Il a été déféré, hier mercredi 05 novembre 2014. Seul dans sa cellule, il saura qu’à défaut de venir en aide à ses parents, il se doit de les laisser en paix.
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