Face à Baye Oumar Guèye, Alla Dieng a indiqué que l’économie informelle «frappée » selon lui de plein fouet par les répercussions de cette crise sanitaire, « a du mal à sortir la tête de l’eau » aujourd’hui.
Par ailleurs, s’exprimant sur la politique d’industrialisation du Sénégal et l’apport des commerçants sénégalais, le président de l’Unacois Yessal a révélé qu’une soixantaine de projets déposés par son regroupement, sont en attente de financement.
«Au moment où je vous parle, on a remis à une banque, 60 dossiers de projets industriels qui n’attendent que le financement avec des partenaires, bien sûr, et fort probablement, avec le soutien de l’Etat», a-t-il renseigné.
Et d’ajouter. «On a vu que le Sénégal importe trop, produit peu et n’exporte pratiquement pas. Nous voulons que cette donne change. C’est la feuille de route de l’Unacois. Nous disons que nous devons protéger, soutenir le produit sénégalais. Ce discours n’est pas partagé par tous les commerçants. Il y a des gens qui ne veulent qu’importer, avoir des bénéfices et rentrer chez eux, construire leurs immeubles... On s’est dit oui, ça c’est bien, mais on peut faire mieux».
Sud
Par ailleurs, s’exprimant sur la politique d’industrialisation du Sénégal et l’apport des commerçants sénégalais, le président de l’Unacois Yessal a révélé qu’une soixantaine de projets déposés par son regroupement, sont en attente de financement.
«Au moment où je vous parle, on a remis à une banque, 60 dossiers de projets industriels qui n’attendent que le financement avec des partenaires, bien sûr, et fort probablement, avec le soutien de l’Etat», a-t-il renseigné.
Et d’ajouter. «On a vu que le Sénégal importe trop, produit peu et n’exporte pratiquement pas. Nous voulons que cette donne change. C’est la feuille de route de l’Unacois. Nous disons que nous devons protéger, soutenir le produit sénégalais. Ce discours n’est pas partagé par tous les commerçants. Il y a des gens qui ne veulent qu’importer, avoir des bénéfices et rentrer chez eux, construire leurs immeubles... On s’est dit oui, ça c’est bien, mais on peut faire mieux».
Sud