De plus en plus, les enquêtes concernant des affaires de bavures policières se soldant par un ou des meurtres sont confiées à la police elle-même. Cette démarche a eu la particularité de susciter souvent chez les proches des victimes de la déception. Et, dans la plupart des cas soulevés, leurs craintes ont été fondées, confirmées qu’elles étaient par les faits qui parlaient d’eux-mêmes. Aujourd’hui, l’opinion est informée du cas de mort d’homme concernant le jeune Ndiaga Ndiaye de Grand-Yoff. L’affaire concernant ce jeune, victime d’une bavure policière, a été confiée pour les besoins d’une enquête à la Division des investigations criminelles (Dic).
Le Parquet, qui est le chef de la police judiciaire, devait pour plus de transparence dans la gestion de ce nouveau dossier de meurtre, s’en ouvrir à la Gendarmerie nationale afin que l’opinion soit édifiée sur les circonstances de la mort du jeune Ndiaga Ndiaye, mais aussi sur les motivations réelles ayant poussé le policier, mis en cause dans cette affaire, à tirer sur le défunt. Déjà, le doute a commencé à gagner la famille du défunt, même si cette dernière compte déposer une plainte pour que cette affaire de mort d’homme soit tirée au clair.
Plusieurs cas similaires avaient fait l’objet d’un pareil traitement. Il suffit de se rappeler l’affaire dite du meurtre de l’étudiant Bassirou Faye de Diourbel. Une affaire qui n’a pas encore livré tous ses secrets. Même si le Doyen des juges d’instruction, Mahawa Sémou Diouf, est parvenu à mettre au gnouf trois policiers.
Le Parquet, qui est le chef de la police judiciaire, devait pour plus de transparence dans la gestion de ce nouveau dossier de meurtre, s’en ouvrir à la Gendarmerie nationale afin que l’opinion soit édifiée sur les circonstances de la mort du jeune Ndiaga Ndiaye, mais aussi sur les motivations réelles ayant poussé le policier, mis en cause dans cette affaire, à tirer sur le défunt. Déjà, le doute a commencé à gagner la famille du défunt, même si cette dernière compte déposer une plainte pour que cette affaire de mort d’homme soit tirée au clair.
Plusieurs cas similaires avaient fait l’objet d’un pareil traitement. Il suffit de se rappeler l’affaire dite du meurtre de l’étudiant Bassirou Faye de Diourbel. Une affaire qui n’a pas encore livré tous ses secrets. Même si le Doyen des juges d’instruction, Mahawa Sémou Diouf, est parvenu à mettre au gnouf trois policiers.