Grâce à l’intervention de la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (Raddho) et de l’Ong Jamra, les étudiants avaient décidé de surseoir à leur grève de la faim. Mais vu que depuis lors rien n’a été fait pour satisfaire leurs doléances, ils veulent passer à la vitesse supérieure en attirant l’attention des autorités religieuses. « Nous profitons de cette occasion pour interpeller les chefs religieux, les Khalifes généraux et le chef de l’Eglise. L’université sera en deuil si nos revendications ne sont pas prises en compte. Si les autorités concernées ne prennent pas à bras le corps nos revendications cruciales afin de nous trouver des solutions tangibles et durables avant que l’irréparable ne se produise », a averti leur porte-parole, Mansour Niang. Il a dénoncé l’attitude du recteur qui prétend que leurs doléances ont été satisfaites à 100%.
D’après lui, depuis un certain temps, ils n’ont plus de nouvelles de Alioune Tine de la Raddho et de Massamba Diop de l’Ong Jamra, qui avaient décidé de mener les discussions avec les responsables universitaires. Fort de ce constat, ils soutiennent qu’ils vont dérouler la deuxième phase de leur plan d’action. « Par cette présente, nous avons décidé de mettre en branle notre deuxième plan d’action, à savoir l’immolation. Aujourd’hui, nous sommes dans un coin très reculé de l’université et nous avons tout ce qu’il faut pour mener à bien le processus d’immolation comme l’essence, les volontaires désignés. Tout est en place. Puisqu’on ne nous considère plus comme membre de la société, donc faisons un exil de mort », a déclaré Mansour Niang.
N.F.G
D’après lui, depuis un certain temps, ils n’ont plus de nouvelles de Alioune Tine de la Raddho et de Massamba Diop de l’Ong Jamra, qui avaient décidé de mener les discussions avec les responsables universitaires. Fort de ce constat, ils soutiennent qu’ils vont dérouler la deuxième phase de leur plan d’action. « Par cette présente, nous avons décidé de mettre en branle notre deuxième plan d’action, à savoir l’immolation. Aujourd’hui, nous sommes dans un coin très reculé de l’université et nous avons tout ce qu’il faut pour mener à bien le processus d’immolation comme l’essence, les volontaires désignés. Tout est en place. Puisqu’on ne nous considère plus comme membre de la société, donc faisons un exil de mort », a déclaré Mansour Niang.
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