C’est à croire que les bus, généralement ceux qu’il est convenu d’appeler Tata et Dem Dikk sont transformés en un cadre de plaisir quand bien même l’endroit ne prête pas à l ’intimité. Quand les bus sont pleins certains hommes de fine manière profitent de l’étroitesse des lieux pour se tenir serré, collé à une dame, le temps de jouir sous l’effet d’un frottement. Cette pratique devenue monnaie courante, n’est pas sans provoquer des heurts entre passagers d’un même bus, surtout quand celle que l’on croit exciter est apparemment insensible au jeu.
Sujet à discussions, ce comportement provocateur de la part de certains hommes est en partie causé par l’accoutrement peu orthodoxe des femmes dont la finalité reste la provocation. Et les bonnes mœurs se trouvent là atteintes dans leur forte intimité. Un tabou semble entourer la question. Mais le constat est fait, du moins par les clients et autres inconditionnels des bus.
Au-delà du Sénégal, récemment en France, dans un métro, quand un homme a sorti son sexe pour le frotter à une femme, cette dernière a crié en tenant pincé le pénis. L’attention des passagers fut attirée par le cri de la pauvre dame. L’homme sera tenu en respect avant d’être incarcéré. La faute sera réparée à coups de quelques euros. Normal pour les français selon qui l’atteinte à la pudeur ne sera assortie que d’une amende. Il y a matière à réflexion sur la nécessité de mettre les femmes à l’abri de l’agression sexuelle en réinventant un type de transport hyper sécurisé de nature à stopper net l’intention des hommes à la libido ultra excessive.
Dieynaba Kaba
Sujet à discussions, ce comportement provocateur de la part de certains hommes est en partie causé par l’accoutrement peu orthodoxe des femmes dont la finalité reste la provocation. Et les bonnes mœurs se trouvent là atteintes dans leur forte intimité. Un tabou semble entourer la question. Mais le constat est fait, du moins par les clients et autres inconditionnels des bus.
Au-delà du Sénégal, récemment en France, dans un métro, quand un homme a sorti son sexe pour le frotter à une femme, cette dernière a crié en tenant pincé le pénis. L’attention des passagers fut attirée par le cri de la pauvre dame. L’homme sera tenu en respect avant d’être incarcéré. La faute sera réparée à coups de quelques euros. Normal pour les français selon qui l’atteinte à la pudeur ne sera assortie que d’une amende. Il y a matière à réflexion sur la nécessité de mettre les femmes à l’abri de l’agression sexuelle en réinventant un type de transport hyper sécurisé de nature à stopper net l’intention des hommes à la libido ultra excessive.
Dieynaba Kaba
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