«Si je voulais mettre fin à ma vie, rien ne m’en empêcherait là où je suis», aurait dit le président Hissein Habré.
Le Procureur Général des Chambres africaines extraordinaires Mbacké Fall a été curieusement, le premier à évoquer la possibilité d’un suicide du Président Habré parce qu’il serait «armé». Ses propos mensongers ont été relayés par le journal l'Observateur qui a même évoqué le syndrome" Khadim Bousso" dans un premier article. Malgré les démentis très clairs de Mme Habré dans son interview, nous constatons que L'Obs tient à entretenir cette idée et à l'alimenter!
Pourquoi et à quel dessein?
Les récents événements liés à l'enlèvement du Président Habré ont édifié l'opinion sénégalaise et internationale du jeu qui se joue autour de sa personne.
Aussi, nous sommes intrigués par l’obsession qu’une partie de la presse a relayé les dossiers de presse du service de communication des chambres africaines, en distillant dans l'opinion l'idée d'un suicide éventuel du président Habré.
Au Directeur de publication du journal «L'Observateur», à l’opinion nationale et internationale, nous tenons à apporter les précisions. Après l'enlèvement du Président Habré, une nouvelle phase du complot est en marche, elle concerne le procès médiatique et chose unique dans l'histoire, un tribunal dispose de centaines de millions de francs pour organiser une opération de lynchage médiatique d'une personne à qui, il est censé assurer un procès équitable!
Depuis 13 années, le Président Habré fait l'objet d'un harcèlement scandaleux mais personne n'a jamais entendu parler de tendances suicidaires. Nous rappelons que le Président Habré a déjà fait l'objet d'une arrestation en 2005 lors de la demande d'extradition belge, il a séjourné 15jours au Pavillon Spécial, personne n'a parlé de volonté de mettre fin à ses jours. Le Président Habré ne mettra jamais fin à ses jours qu'on se le tienne pour dit et ce définitivement.
Monsieur le Directeur de Publication, recevez nos plus hautes considérations.
NB : Hier vers 12 heures, nous avons déposé cette précision dans les locaux du journal «L’Obs » au deuxième. Elle n’a pas été publiée.
LE SERVICE PRESSE
Le Procureur Général des Chambres africaines extraordinaires Mbacké Fall a été curieusement, le premier à évoquer la possibilité d’un suicide du Président Habré parce qu’il serait «armé». Ses propos mensongers ont été relayés par le journal l'Observateur qui a même évoqué le syndrome" Khadim Bousso" dans un premier article. Malgré les démentis très clairs de Mme Habré dans son interview, nous constatons que L'Obs tient à entretenir cette idée et à l'alimenter!
Pourquoi et à quel dessein?
Les récents événements liés à l'enlèvement du Président Habré ont édifié l'opinion sénégalaise et internationale du jeu qui se joue autour de sa personne.
Aussi, nous sommes intrigués par l’obsession qu’une partie de la presse a relayé les dossiers de presse du service de communication des chambres africaines, en distillant dans l'opinion l'idée d'un suicide éventuel du président Habré.
Au Directeur de publication du journal «L'Observateur», à l’opinion nationale et internationale, nous tenons à apporter les précisions. Après l'enlèvement du Président Habré, une nouvelle phase du complot est en marche, elle concerne le procès médiatique et chose unique dans l'histoire, un tribunal dispose de centaines de millions de francs pour organiser une opération de lynchage médiatique d'une personne à qui, il est censé assurer un procès équitable!
Depuis 13 années, le Président Habré fait l'objet d'un harcèlement scandaleux mais personne n'a jamais entendu parler de tendances suicidaires. Nous rappelons que le Président Habré a déjà fait l'objet d'une arrestation en 2005 lors de la demande d'extradition belge, il a séjourné 15jours au Pavillon Spécial, personne n'a parlé de volonté de mettre fin à ses jours. Le Président Habré ne mettra jamais fin à ses jours qu'on se le tienne pour dit et ce définitivement.
Monsieur le Directeur de Publication, recevez nos plus hautes considérations.
NB : Hier vers 12 heures, nous avons déposé cette précision dans les locaux du journal «L’Obs » au deuxième. Elle n’a pas été publiée.
LE SERVICE PRESSE