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Lettre ouverte à Monsieur le president de la République

Rédigé par leral.net le Mardi 1 Mai 2012 à 13:21 | | 3 commentaire(s)|

Lettre ouverte à Monsieur le president de la République
Je voudrais attirer votre attention sur les pratiques peu orthodoxes de la SUNEOR concernant le patrimoine immobilier de l'ex-SONACOS. En efffet, la Sonacos disposait en plus de ses unités industrielles un impressionnant patrimoine immobilier surtout à Diourbel.

A la suite de la privatisation les unités industrielles furent cedeees au groupe ADVENS le 31 decembre 2004. Les nouveaux repreneurs denommerent l'entreprise par SUNEOR. Ainsi la SUNEOR se subrogeant aux droits de la SONACOS quant aux unites industrielles veut aussi accaparer certaines villas exclues du perimetre de privatisation tel que revele dans le rapport 2009 de la cour des comptes.

De ce fait elle mene des actions en justice pour menacer d'expulsion certains occupants qui avaient loué les dites villas à travers un contrat signé avec la SONACOS. D'ailleurs dans le rapport de la cour des comptes de 2009 il y a été révélé : ''par ailleurs ; demeure injustifie mandat donne à ADVENS de procéder à la vente d'immeubles non concernés par le périmètre de privatisation notamment - le terrain ou le droit de bail de longue durée consenti a la la societe ( SOONACOS) par l'etat du Senegal ; le 27 avril 1989 pour le terrain de la rue Calmette ainsi que les constructions qui y ont été édifiées - les villas des rues du Docteur Theze et Joris à Dakar - les deux appartements à usage de bureaux secondaires situés au 55 de la rue Raynouard à Paris dans le XVIeme arrondissement.

Au moment du contrôle, seul l'immeuble sis à Dakar à la rue Joris a été vendu par le repreneur . La vente des appartements sis a Paris ataient en cours de realisation par la chambre des notaires .''Toujours dans ce meme rapport recommandations ont ete faites au Ministere de l'Economie et des finances de veiller a la sauvegarde du patrimoine immobilier de l'ex SONACOS.Dans ces circontances comment peut on analyser l'attitude de la SUNEOR consistant a menacer d'expulsion les occupants de ces dites villas ? N'y a t'il pas un dessein cache de vouloir faire main basse sur certaines de ces villas ?

Parallèlement 212 villas édifiées sur le TF 1737 /Baol ont ete morcelees et vendues par l'intermediaire d'une coopérative d'habitat avec comme president du comité d'initiative M. Dibocor Ngom par ailleurs responsable de la Génération du Concret à Diourbel à raison de 2.000.000 frncs CFA par villa soit 424.000.000 pour toute la cité. Ces faits méritent des inspections et/ou des audits raison pour la quelle j'attire votre attention pour qu'une telle mission puisse etre diligentée.

Docteur SEYE, Chirurgien dentiste



1.Posté par Norbert le 01/05/2012 14:09 | Alerter
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Gestion nébuleuse du groupe Sopi media: Me Ousmane Ngom, Mouhamadou Moustapha Dieng et Salam Diop dans le collimateur des travailleurs

Rien ne va plus à la radio  Sopi fm et à Sopi hebdo, les deux entités du groupe Sopi media qui avait été inauguré en grande pompe il y a de cela plus d'une année, par l'ancien President de la république, Me Abdoulaye Wade.  Depuis deux mois le personnel n'est plus payé.  Le superviseur général du groupe Me Ousmane Ngom est inscrit depuis la chute du régime libéral aux abonnés absents. La cinquantaine d'employé de ce groupe est livrée à elle même. Comme un malheur n'arrive jamais seul, un climat de suspicion pèse lourdement sur le gestionnaire de ce groupe en l'occurrence l'ancien ministre de l'intérieur Ousmane  Ngom. Les agents de ce groupe de presse qui tirent désormais le diable par la queue et qui sont au bout de leur patience, le soupçonne d'avoir fait main basse sur une partie du budget du groupe qui se chiffrait à plus de trois cents millions de FCfCA. 

À deux reprises, les travailleurs du groupe sopi  media ont tenté d'assiéger le domicile de Me Ousmane Ngom afin d'entrer dans leur fonds. N'eut été les conseils d'un haut dignitaire du PDS mis au parfum au dernier moment, ces agents dépités,  étaient prêts à lancer l'assaut final sur la villa de Me Ousmane Ngom pour se faire entendre. Malgré les conciliabules par personnes interposées, Ousmane Ngom qui se montre de plus en plus arrogant, refuse de rencontrer tout le personnel du groupe pour expliquer les causes de ces retards de salaires. 

Un groupe de radicaux qui commence en avoir marre des dilatoires du dernier ministre de l'intérieur de Me Abdoulaye Wade, qui semble se jouer d'eux, a lancé le week-end dernier un ultimatum au superviseur général du groupe, le sommant ainsi, de payer au plus tard le 5 mai 2012 les deux mois d'arriérés de salaires qu'il doit au personnel. Si Ousmane Ngom refuse de s'exécuter, le personnel du groupe de presse qui comprend une radio et un hebdomadaire menace de durcir le ton en usant de tous les moyens à leur disposition pour se faire payer. 

Le sieur Salam Diop, le rédacteur en chef du journal Sopi qui avait fait main basse sur les fonds de campagne pour le second tour de la présidentielle destinés aux journalistes de Sopi hebdo et qui étaient  estimés à 1,5 million de FCFA, en sait quelque chose. Ses propres journalistes qui n'avaient plus vu la couleur de l'argent depuis 60 jours, l'on séquestré, l'obligeant ainsi à restituer nuitamment et .... dans la rue, l'argent qu'il avait volé.   

Me Ousmane Ngom qui semble être son complice dans certains micmacs est averti. Désormais rien ne sera plus comme avant. Même Mouhamadou Moustapha Dieng, le coordonnateur général du groupe n'est pas lui aussi épargné des  foudres des agents du groupe Sopi média qui sont déterminés à lutter pour non seulement se faire payer leurs deux mois d'arriérés de salaires, mais aussi pour  l'assainissement de la gestion de ce groupe de presse gangrené aujourd'hui par le trio : Ousmane Ngom, Mouhamadou Moustapha Dieng et Abdou Salam Diop. 

Ces trois individus qui doivent avoir le courage de démissionner sont également  pointés du doigt par le personnel comme étant les principaux responsables de leur malheur. C'est la raison pour laquelle les travailleurs du groupe sopi media exigent leur départ et demandent dans la foulée au Comité d'orientation du groupe composé entre autres du Professeur Iba Der Thiam, Modou Diagne Fada et Abdoulaye Faye  d'éloigner dare dare ce trio  de la gestion du groupe. Car, à les en croire, ils se sont assez sucrés sur le dos des pauvres agents qui sont aujourd'hui, pour la plupart en instance d'être expulsé de leur domicile pour défaut de payement de loyer. 

Pour le petite histoire, la Senelec avait même coupé pendant 24 heures  l'électricité du groupe de presse. Ousmane Ngom avisé, s'est empressé de payer la facture et le bon de coupure sur fonds propre, avant que Me Abdoulaye Wade, le secrétaire général du PDS et non moins Président fondateur du groupe ne soit au courant de cette forfaiture.  Mais c'était peine perdu l'entourage de Wade en l'occurrence Samuel Sarr et Abdoulaye Faye avait été informé.  De quoi à peur Ousmane Ngom? Mystère et boule de gomme! 

En tout cas, le personnel à qui le le superviseur du groupe demande encore de patienter, par l'intermédiaire d'un de ses chambellans, malgré la gravité de la situation, n'en peut plus et menace de passer à la vitesse supérieure dans les prochaines heures pour se faire payer leur deux mois d'arriérés de salaires, jusqu'au dernier centime. 

Face au manque de considération à leur égard par le sieur Me Ousmane Ngom, l'ensemble du personnel du groupe Sopi média a décidé d'aller s'en remettre ce mercredi 2 mai à 11 heures, au  Président Wade, le President Fondateur de ce groupe de presse. 

Norbert Zongo 

2.Posté par DOUL le 01/05/2012 15:07 | Alerter
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NORBERT DOUL WAYE, QUAND LE PDS ETAIT AU POUVOIR ON NE VOUS ENTENDEZ PAS. AUJORDHUI QUE C FINI VOUS POLLUEZ LATMOSPHERE. AU LIEU DE CITER DES NOMS D'EX MINISTRES QUI NE PEUVENT PLUS VOUS AIDER, ALLEZ EN JUSTICE. VOUS AVIEZ SIGNE DES CONTRATS EN BONNE ET DUE FORME? FOUTEZ NOUS LA PAIX ET REGLER CELA DEVANT LE JUGE DU TRAVAIL. DOUL WAYE

3.Posté par ISSA le 01/05/2012 16:41 | Alerter
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