En effet, nos confrères du Quotidien informent que, hier, la Css a pu obtenir des autorités de l’Etat que les importations de sucre soient bloquées. La décision aurait été prise par le président de la République en personne qui a demandé à ses ministres du Commerce et de l’Economie de faire appliquer la mesure.
Le chef de l’Etat avait, en effet, reçu des responsables de la Compagnie sucrière en début de semaine qui lui ont fait voir les inconvénients que cette autorisation des importations allait causer à leur entreprise. Le staff directeur de l’entreprise de Richard Toll a également mis l’accent sur le risque qu’une mévente de sa production pourrait peser à l‘emploi, dans une région où l’usine était e premier employeur, avant même l’Etat. Des arguments qui ont certainement pesé sur la balance du Président pour revenir sur la décision initiale.
Pour rappel, le ministre du Commerce avait décidé de répartir un quota de 25 000 tonnes de sucre pour importation. Et comme mesure incitative, il avait obtenu de son homologue du Budget, la levée de la Taxe conjoncturelle à l’importation (Tci). Ce qui rendait ladite importation plus compétitive que la production nationale. De son côté, la Css qui se plaignait de n’avoir pas été prévenue de la décision ministérielle, assurait être en mesure de couvrir tous les besoins de consommation du pays.
Oumar Dembélé (stagiaire)
Le chef de l’Etat avait, en effet, reçu des responsables de la Compagnie sucrière en début de semaine qui lui ont fait voir les inconvénients que cette autorisation des importations allait causer à leur entreprise. Le staff directeur de l’entreprise de Richard Toll a également mis l’accent sur le risque qu’une mévente de sa production pourrait peser à l‘emploi, dans une région où l’usine était e premier employeur, avant même l’Etat. Des arguments qui ont certainement pesé sur la balance du Président pour revenir sur la décision initiale.
Pour rappel, le ministre du Commerce avait décidé de répartir un quota de 25 000 tonnes de sucre pour importation. Et comme mesure incitative, il avait obtenu de son homologue du Budget, la levée de la Taxe conjoncturelle à l’importation (Tci). Ce qui rendait ladite importation plus compétitive que la production nationale. De son côté, la Css qui se plaignait de n’avoir pas été prévenue de la décision ministérielle, assurait être en mesure de couvrir tous les besoins de consommation du pays.
Oumar Dembélé (stagiaire)