Certains pensent que le Président devait laisser le temps à Ibrahima Sall « d’apporter ses marques » et que les négociations qu’il avait entamées étaient sur « une bonne voie ». Les souteneurs du désormais ancien ministre de l’Education pensent que le Président est allé « trop vite » sur le cas de Ibrahima Sall car avec ce changement, il faut repartir à « zéro » dans le dialogue avec les syndicats.
Selon d’autres enseignants, le limogeage d’Ibrahima Sall était « une nécessité ». Ils pensent que l’homme n’a pas «le profil nécessaire » pour diriger ce ministère. Ces enseignants ne sont pas contents de la teneur des négociations avec Ibrahima Sall qui entretient toujours un « débat aérien, flou » sans pouvoir poser des actes concrets.
Mais, tous ces enseignants partagent le même point de vue sur le nouveau venu, Serigne Mbaye Thiam, à qui ils demandent tous d’être « à la hauteur » et de reprendre le plus tôt possible « le fil du dialogue ».
Selon d’autres enseignants, le limogeage d’Ibrahima Sall était « une nécessité ». Ils pensent que l’homme n’a pas «le profil nécessaire » pour diriger ce ministère. Ces enseignants ne sont pas contents de la teneur des négociations avec Ibrahima Sall qui entretient toujours un « débat aérien, flou » sans pouvoir poser des actes concrets.
Mais, tous ces enseignants partagent le même point de vue sur le nouveau venu, Serigne Mbaye Thiam, à qui ils demandent tous d’être « à la hauteur » et de reprendre le plus tôt possible « le fil du dialogue ».