Les populations de la localité de Linguère, au nord-est du Sénégal sont montées au créneau, et ont exigé à travers un mémorandum l’audit de la gestion de la structure de santé Maguette Lô, et le départ de son directeur général.
Réunies autour du collectif « Taxawu Djolof », elles jugent nébuleuse la gestion du Directeur Abdou Sarr. Le collectif a rappelé qu’une marche a été organisée le dimanche 11 avril 2021, laquelle s’inscrit dans « un contexte de conjoncture sociale très difficile, accentuée par la covid-19 ».
Ainsi, une série de doléances a été exposée dans le document, parmi lesquelles « atténuer la souffrance des populations démunies et permettre à chaque citoyen de pouvoir se soigner à moindre coût ».
Les habitants de Linguère et le collectif en mouvement réclament, le renouvellement du conseil d’administration, l’arrêt de la vente des draps, l’achat d’une machine à laver, le renforcement du matériel au niveau du bloc opératoire, baisse des tarifications, la prise en charge de l’imputation budgétaire 24/24.
Momar Thiam et ses camarades ne comptent pas bouger d’un iota. Ils ont décidé de poursuivre le combat, tant que leurs revendications ne seront pas prises en compte par les autorités concernées. Ainsi, ils comptent marcher mensuellement tant qu’ils n’obtiendront pas gain de cause, renseigne ‘’Source A’’.
Réunies autour du collectif « Taxawu Djolof », elles jugent nébuleuse la gestion du Directeur Abdou Sarr. Le collectif a rappelé qu’une marche a été organisée le dimanche 11 avril 2021, laquelle s’inscrit dans « un contexte de conjoncture sociale très difficile, accentuée par la covid-19 ».
Ainsi, une série de doléances a été exposée dans le document, parmi lesquelles « atténuer la souffrance des populations démunies et permettre à chaque citoyen de pouvoir se soigner à moindre coût ».
Les habitants de Linguère et le collectif en mouvement réclament, le renouvellement du conseil d’administration, l’arrêt de la vente des draps, l’achat d’une machine à laver, le renforcement du matériel au niveau du bloc opératoire, baisse des tarifications, la prise en charge de l’imputation budgétaire 24/24.
Momar Thiam et ses camarades ne comptent pas bouger d’un iota. Ils ont décidé de poursuivre le combat, tant que leurs revendications ne seront pas prises en compte par les autorités concernées. Ainsi, ils comptent marcher mensuellement tant qu’ils n’obtiendront pas gain de cause, renseigne ‘’Source A’’.