Les gardes pénitentiaire affirment que d'après les renseignements recueillis, c'est un groupe de conseillers qui ont poussé la vingtaine de commerçants établis irrégulièrement sur le site à manifester et faire des sorties médiatiques dans les ondes Walf et RFM.
Il s’en est suivi une rencontre gardes pénitentiaires, municipalité et services techniques dans le bureau du préfet du département et une solution avait été retenue, les gardes avaient proposé le redéploiement des commerçants sur une autre place sur le site. Mais les municipaux après cette séance de travail, se sont retrouvés pour réclamer tout le site pour un projet d'utilité sociale ''Coeur de Ville''. Ils réclament le site qui ne relève ni du domaine public, ni du domaine national mais du domaine privé de l'Etat qui l'a déjà rétrocédé à des Sénégalais appelés ‘‘Doxamndem’’ par le groupe de commerçants soutenu par une poignée de conseillers municipaux.
Pourtant le site dont se réclame la municipalité et qui fait déjà l'objet d'attribution par l'Etat depuis Février 2013 après une instruction de 2010 à 2013 et qui a répondu à toutes les exigences de la procédure jusqu'à son terme fut convoitée par la municipalité depuis 1997 à travers une lettre n°72/CL du 17 mars 1997 adressée au ministre de l'Intérieur à l’époque par laquelle l'actuel maire, lors de son précédent mandat demandait une partie du terrain le long de l'Avenue Fayçal Ibn Abdel Aziz appelée Route de Cocki long de 76 mètres sur pour y ériger des équipements marchands (25 cantines) aux fins de gonfler les recettes municipales. Pourquoi depuis 1997 ni la Mairie ni les commerçants n’ont osé mettre la plus petite brique pour construire ? Les municipaux ont même eu l’audace de se faire établir un plan de la partie concernée en dehors des services de l’Etat notamment le Cadastre local.
Les agents pénitentiaires attendent que les autorités étatiques stoppent les velléités ‘‘politico-politiciennes’’ de ces ‘‘dinosaures politiques’’ en mal de repères et les rétablir dans leurs droits.
Ces agents qui se disent frustrés par le comportement des autorités municipales qui leur ont ‘‘toujours refusé l’accès à la terre’’, même lors du programme spécial d’attribution de terrains à usage d’habitation pour les forces de sécurité de Louga. Ils disent que seuls trois éléments ont eu à bénéficier de parcelles parmi eux et ceci dans la périphérie jouxtant le canal de déversement des eaux usées. Pourtant la MAC ne ménage aucun effort pour appuyer la mairie. La preuve les détenus assurent le nettoiement quotidien des artères municipales au grand bonheur de toute la population de Louga.
Enfin les gardes soupçonneraient un parfum de deal entre la municipalité et les services des domaines. Ils disent ne pas comprendre la rencontre que les 03 chefs de services Domaine, Cadastre et Urbanisme ont eu avec Madame le Maire à Dakar en dehors de la présence des principaux bénéficiaires du terrain. Qu’est-ce qu’ils se sont dit ?
Ils soupçonneraient également les services techniques de jouer un double jeu à leur détriment. Parce que personne ne doit discuter de quoi que çà soit sur des questions ayant trait à ce lotissement à leur absence. Toute compromission devra passer par eux qui sont les principaux bénéficiaires.
Même le représentant des ayants droit a eu à adresser une correspondance au Premier ministre sans suite.
Il s’en est suivi une rencontre gardes pénitentiaires, municipalité et services techniques dans le bureau du préfet du département et une solution avait été retenue, les gardes avaient proposé le redéploiement des commerçants sur une autre place sur le site. Mais les municipaux après cette séance de travail, se sont retrouvés pour réclamer tout le site pour un projet d'utilité sociale ''Coeur de Ville''. Ils réclament le site qui ne relève ni du domaine public, ni du domaine national mais du domaine privé de l'Etat qui l'a déjà rétrocédé à des Sénégalais appelés ‘‘Doxamndem’’ par le groupe de commerçants soutenu par une poignée de conseillers municipaux.
Pourtant le site dont se réclame la municipalité et qui fait déjà l'objet d'attribution par l'Etat depuis Février 2013 après une instruction de 2010 à 2013 et qui a répondu à toutes les exigences de la procédure jusqu'à son terme fut convoitée par la municipalité depuis 1997 à travers une lettre n°72/CL du 17 mars 1997 adressée au ministre de l'Intérieur à l’époque par laquelle l'actuel maire, lors de son précédent mandat demandait une partie du terrain le long de l'Avenue Fayçal Ibn Abdel Aziz appelée Route de Cocki long de 76 mètres sur pour y ériger des équipements marchands (25 cantines) aux fins de gonfler les recettes municipales. Pourquoi depuis 1997 ni la Mairie ni les commerçants n’ont osé mettre la plus petite brique pour construire ? Les municipaux ont même eu l’audace de se faire établir un plan de la partie concernée en dehors des services de l’Etat notamment le Cadastre local.
Les agents pénitentiaires attendent que les autorités étatiques stoppent les velléités ‘‘politico-politiciennes’’ de ces ‘‘dinosaures politiques’’ en mal de repères et les rétablir dans leurs droits.
Ces agents qui se disent frustrés par le comportement des autorités municipales qui leur ont ‘‘toujours refusé l’accès à la terre’’, même lors du programme spécial d’attribution de terrains à usage d’habitation pour les forces de sécurité de Louga. Ils disent que seuls trois éléments ont eu à bénéficier de parcelles parmi eux et ceci dans la périphérie jouxtant le canal de déversement des eaux usées. Pourtant la MAC ne ménage aucun effort pour appuyer la mairie. La preuve les détenus assurent le nettoiement quotidien des artères municipales au grand bonheur de toute la population de Louga.
Enfin les gardes soupçonneraient un parfum de deal entre la municipalité et les services des domaines. Ils disent ne pas comprendre la rencontre que les 03 chefs de services Domaine, Cadastre et Urbanisme ont eu avec Madame le Maire à Dakar en dehors de la présence des principaux bénéficiaires du terrain. Qu’est-ce qu’ils se sont dit ?
Ils soupçonneraient également les services techniques de jouer un double jeu à leur détriment. Parce que personne ne doit discuter de quoi que çà soit sur des questions ayant trait à ce lotissement à leur absence. Toute compromission devra passer par eux qui sont les principaux bénéficiaires.
Même le représentant des ayants droit a eu à adresser une correspondance au Premier ministre sans suite.