L'avis du Conseil constitutionnel continue de défrayer la chronique. Les réactions viennent de partout aussi bien de la part des politiques que de la société civile. Mais, la dernière sortie d'Idrissa Seck, sur ce sujet n'est pas du tout du goût du conseiller politique du Président Macky Sall. Selon le ministre, Idrissa Seck est très mal placé pour donner des leçons de moral au chef de l'Etat.
"Ce monsieur, c'est vraiment l'horreur du déshonneur qui disserte sur le déshonneur. Ce monsieur, grand ténébreux de son état est le 1er homme politique qui avait parlé de partage de butin entre bandits de grand chemin ; ce monsieur, dans l'histoire du Sénégal, a été accusé de détournement de milliards avant Karim Wade ; c'est ce monsieur qui a toujours fait le contraire de ce qu'il disait", a dit Luc Sarr dans les colonnes de La Tribune avant de conclure : "Le premier à se taire aurait pu être monsieur Idrissa Seck. Le dernier à prendre la parole aurait dû être monsieur Seck. Le seul personnage de l'espace politique, qui ne doit jamais parler de question de morale, devrait être monsieur Seck".
"Ce monsieur, c'est vraiment l'horreur du déshonneur qui disserte sur le déshonneur. Ce monsieur, grand ténébreux de son état est le 1er homme politique qui avait parlé de partage de butin entre bandits de grand chemin ; ce monsieur, dans l'histoire du Sénégal, a été accusé de détournement de milliards avant Karim Wade ; c'est ce monsieur qui a toujours fait le contraire de ce qu'il disait", a dit Luc Sarr dans les colonnes de La Tribune avant de conclure : "Le premier à se taire aurait pu être monsieur Idrissa Seck. Le dernier à prendre la parole aurait dû être monsieur Seck. Le seul personnage de l'espace politique, qui ne doit jamais parler de question de morale, devrait être monsieur Seck".
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