Le porte-parole du gouvernement, Oumar Guèye, balaie d’un revers de la main, les accusations du maire de Dakar, Barthélémy Dias. Il renseigne à l’occasion de la conférence de presse, dénommée ’’Le Gouvernement face à la presse’’, qu’aucun salaire n’a été bloqué.
«Il n’y a aucun blocage en ce qui concerne les salaires. Mais, rappelons que le principe de la libre administration des collectivités territoriales est un principe encadré de par la loi à travers l’article 102 de la Constitution. C’est dans son dernier alinéa justement que l’article précise que cette liberté doit se faire dans le respect des lois et règlements», explique le maire sortant de Sangalkam.
Selon le ministre et porte-parole du gouvernement, ce respect des lois et règlements veut que, s’il y a des décrets qui organisent les collectivités territoriales, que l’application soit faite à tout le monde.
«Le problème se trouve dans le fait que le maire de Dakar ne respecte pas l’organigramme type, prévu pour son cabinet. Si on recrute en dehors de l’organigramme type, aucun inspecteur du travail ne va viser ce contrat, aucun percepteur municipal ne va procéder au paiement», tranche-t-il.
«Il n’y a aucun blocage en ce qui concerne les salaires. Mais, rappelons que le principe de la libre administration des collectivités territoriales est un principe encadré de par la loi à travers l’article 102 de la Constitution. C’est dans son dernier alinéa justement que l’article précise que cette liberté doit se faire dans le respect des lois et règlements», explique le maire sortant de Sangalkam.
Selon le ministre et porte-parole du gouvernement, ce respect des lois et règlements veut que, s’il y a des décrets qui organisent les collectivités territoriales, que l’application soit faite à tout le monde.
«Le problème se trouve dans le fait que le maire de Dakar ne respecte pas l’organigramme type, prévu pour son cabinet. Si on recrute en dehors de l’organigramme type, aucun inspecteur du travail ne va viser ce contrat, aucun percepteur municipal ne va procéder au paiement», tranche-t-il.