Ses actions sont orientées vers les personnes ayant des problèmes de chance dans la vie, des difficultés d’accouchements et conjugaux sans laisser en rade l’interprétation des rêves.
« J’ai fait 45 pays à travers le monde. Je connais la façon de vivre de la plupart des pays que j’ai visités. Aujourd’hui, au Sénégal, la situation de la médecine traditionnelle n’est ni organisée ni réglementé. C’est compliqué, hormis le Gabon. Là-bas, ils ont mis en place un centre de recherche en pharmacopée. Ils ont voté une loi relative à la médecine traditionnelle. Mais tel n’est pas le cas pour le Sénégal. Ici vous voyez toute sorte de marabout et féticheur qui viennent du reste de l’Afrique pour exercer leur métier sans control policière, or que dans leur pays, tout est règlementé. Aussi, l’Etat doit nous protéger et nous revaloriser car nous accompagnons beaucoup les populations désespérées. Si vous allez à l’hôpital et vous y mourez, il n’y a pas de problème. Mais si vous amenez un malade chez le guérisseur et y meurt, c’est des problèmes et des commentaires à n’en plus finir. On vous prend comme responsable. Alors que c’est quand ça ne marche pas à l’hôpital qu’ils viennent nous consulter », dixit le maitre.
Par rappel, Adama Baldé a intégré l’association des tradipraticiens et herboristes au Bourkina Faso dans laquelle il enseignait la médecine traditionnelle. Au Gabon il a participé à des émissions sur la radio Africa N°1 en compagnie du célèbre animateur Patrice Nguemadon. Il a participé à plusieurs séminaires sur la médecine traditionnelle.
« J’ai fait 45 pays à travers le monde. Je connais la façon de vivre de la plupart des pays que j’ai visités. Aujourd’hui, au Sénégal, la situation de la médecine traditionnelle n’est ni organisée ni réglementé. C’est compliqué, hormis le Gabon. Là-bas, ils ont mis en place un centre de recherche en pharmacopée. Ils ont voté une loi relative à la médecine traditionnelle. Mais tel n’est pas le cas pour le Sénégal. Ici vous voyez toute sorte de marabout et féticheur qui viennent du reste de l’Afrique pour exercer leur métier sans control policière, or que dans leur pays, tout est règlementé. Aussi, l’Etat doit nous protéger et nous revaloriser car nous accompagnons beaucoup les populations désespérées. Si vous allez à l’hôpital et vous y mourez, il n’y a pas de problème. Mais si vous amenez un malade chez le guérisseur et y meurt, c’est des problèmes et des commentaires à n’en plus finir. On vous prend comme responsable. Alors que c’est quand ça ne marche pas à l’hôpital qu’ils viennent nous consulter », dixit le maitre.
Par rappel, Adama Baldé a intégré l’association des tradipraticiens et herboristes au Bourkina Faso dans laquelle il enseignait la médecine traditionnelle. Au Gabon il a participé à des émissions sur la radio Africa N°1 en compagnie du célèbre animateur Patrice Nguemadon. Il a participé à plusieurs séminaires sur la médecine traditionnelle.