Ces derniers n’étaient plus libres de leurs mouvements depuis le 24 mai dernier, date du second coup d’État militaire mené par le colonel Assimi Goita, intronisé depuis, président de la Transition.
Selon Rfi, les deux anciens dirigeants avaient donc pris un avocat - qui n’était pas autorisé à les rencontrer - et engagé une procédure devant la Cour de justice de la Cedeao. Laquelle exigeait que Bamako lui communique, au plus tard ce dimanche 29 août 2021, tous les éléments pouvant justifier l’assignation à résidence de Bah N’Daw et Moctar Ouane.
«Cette plainte leur a fait peur», explique une source impliquée de très près dans le dossier, qui affirme également que les autorités maliennes avaient sollicité un délai supplémentaire d’un mois pour répondre à cette requête, un délai refusé.
L'As
Selon Rfi, les deux anciens dirigeants avaient donc pris un avocat - qui n’était pas autorisé à les rencontrer - et engagé une procédure devant la Cour de justice de la Cedeao. Laquelle exigeait que Bamako lui communique, au plus tard ce dimanche 29 août 2021, tous les éléments pouvant justifier l’assignation à résidence de Bah N’Daw et Moctar Ouane.
«Cette plainte leur a fait peur», explique une source impliquée de très près dans le dossier, qui affirme également que les autorités maliennes avaient sollicité un délai supplémentaire d’un mois pour répondre à cette requête, un délai refusé.
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