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Mame Mactar Guèye, Vice-président de Jamra: "la décision du chef de l'Etat sur le port du voile intégral est un mal nécessaire".

La déclaration du Président de Macky Sall sur le port du voile intégrale est approuvée par beaucoup de nos religieux, c'est le moins qu'on puisse dire. Après les ouztas Alioune Sall, Iran Ndao, entre autres, c'est au tour de Mame Mactar Guèye de donner son approbation. Il appelle aussi le chef de l'Etat d'associer les autorités religieuses à la réflexion.


Rédigé par leral.net le Mercredi 11 Novembre 2015 à 13:48 | | 13 commentaire(s)|

Mame Mactar Guèye, Vice-président de Jamra: "la décision du chef de l'Etat sur le port du voile intégral est un mal nécessaire".
Selon le Vice-président de Jamra, "les anciens ennemis de l'Islam, les "Qureich", qui se réclament maintenant des nôtres, semblent adopter une stratégie plus pernicieuse en prônant un extrémisme religieux violent et sanguinaire, exercé indifféremment contre des non-musulmans et des musulmans".

A en croire Mame Mactar Guèye, aujourd'hui, se sont ces mêmes ennemis du Prophète Seydina Mouhamed (Psl) qui utilisent les symboles vestimentaires de l'Islam, notamment la " Burqa", voile intégral, pour dissimuler des ceintures d'explosifs en vue de commettre des meurtres de masse au nom de l'islam. Il indique tout de même que le port du voile est un commandement religieux que le Tout-Puissant a expressément prescrit dans le Livre Saint.

Après avoir rendu un hommage mérité à nos vaillantes sœurs qui se sont toujours attachées au respect de ce commandement divin, Le Vice-président de Jamra propose de renoncer provisoirement à la "Burqa" pour se confiner dans le port du "Hijab" qui, précise-t-il, "n'a pas moins de mérite". Ce, pour couper radicalement l'herbe sous le pied de ceux ou celles qui, lâchement camouflé(es) sous ce symbole vestimentaire, tuent et versent du sang innocent au nom de tout les musulmans.

Mame Mactar Guèye demande aussi d'associer sans délai à la réflexion les autorités religieuses du pays, notamment les Oulémas et les Khalifes généraux, afin de s'entourer de meilleurs garanties consensuelles, concernant cette importante décision qui, dit-il "s’avère un mal nécessaire" touchant un symbole religieux.

Grand-Place.