« La plupart des partis n’ont pas les moyens de leur politique, nous faisons partie des pays les plus pauvres du monde. Maintenant que faut-il faire ? Il faut que les gens continuent la réflexion mais avant de trouver des solutions idoines, on cherche, on cogite mais pas n’importe comment.
Mais malheureusement dans ce pays, il y a des gens qui s’autoproclament fous et d’autres qui disent qu'eux-mêmes refusent toute lucidité. Dans ce pays, même le chef de l’Etat ne peut pas parler des partis politiques. Le ministre de l’Intérieur gère la vie des partis politiques, donne le récépissé, contrôle, sanctionne. Mais celui qui doit sanctionner, qui donne naissance à un parti politique, qui a tous les pouvoirs sur les partis politiques, vous l’empêchez de parler de la violation des règles qui régissent les partis politiques. Donc quel serait son rôle ?
Mais qu’est-ce que qu’a fait Antoine Diome ? Rappeler à quelqu’un qui a lancé une campagne internationale de financement les règles qui régissent les fonctionnements des partis. Et ça devient un crime. Et on parle d’acharnement, on parle de bras armé. Mais qu’est ce que vous voulez ? Qu’on assiste à des blanchiments massifs d’argent dans ce pays. On ne contrôle plus l’arrivée de fortes sommes d’argent dans notre pays. Il y a des escrocs politiques… ».
Leral.net
Mais malheureusement dans ce pays, il y a des gens qui s’autoproclament fous et d’autres qui disent qu'eux-mêmes refusent toute lucidité. Dans ce pays, même le chef de l’Etat ne peut pas parler des partis politiques. Le ministre de l’Intérieur gère la vie des partis politiques, donne le récépissé, contrôle, sanctionne. Mais celui qui doit sanctionner, qui donne naissance à un parti politique, qui a tous les pouvoirs sur les partis politiques, vous l’empêchez de parler de la violation des règles qui régissent les partis politiques. Donc quel serait son rôle ?
Mais qu’est-ce que qu’a fait Antoine Diome ? Rappeler à quelqu’un qui a lancé une campagne internationale de financement les règles qui régissent les fonctionnements des partis. Et ça devient un crime. Et on parle d’acharnement, on parle de bras armé. Mais qu’est ce que vous voulez ? Qu’on assiste à des blanchiments massifs d’argent dans ce pays. On ne contrôle plus l’arrivée de fortes sommes d’argent dans notre pays. Il y a des escrocs politiques… ».
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