Aminata Badiane, à elle seule, elle ne serait capable de figurer sur la liste de personnes en danger.
Sur la liste figurent deux femmes, la birmane Aung San Suu Kyi et Aminata Badiane
"Il y a plusieurs listes d’hommes politiques, de journalistes, de militants en danger dans le monde, mais, sur cette liste, je ne pense pas que ce soit Amina Badiane qui ait demandé qu'on y appose son nom. Mais plutôt une personne qui a peur que ses secrets soient divulgués. Donc, si la police met aux arrêts Amina, cette personne serait dénoncée à coup sûr. Sur la liste, il y a 17 personnes qui sont des personnalités publiques, Premier ministre et célébrités persécutés dans leur pays d'origine pour avoir exprimé leur liberté d'expression", a fait savoir la source de Leral.
A en croire l'informateur de Leral, "figurer sur cette liste, c'est avoir l'asile dans certains pays de l'Union européenne, aux Usa et certains pays du Proche-Orient. Si un de ces pays accepte, on vous exfiltre du Sénégal en douce, sans que personne ne le sache. Elle doit avoir le bras long pour avoir une personne qui a accès à la base et qui peut l'inscrire comme une personne en danger".
Aucune plainte contre elle
"J'avais prévenu des personnes hier (Ndlr: mardi). le temps d'agir qu'elle serait déjà partie. pour en avoir le cœur net, j'ai demandé une copie de la plainte, mais j'ai découvert que personne n'avait porté plainte contre elle".
Sur la liste figurent deux femmes, la birmane Aung San Suu Kyi et Aminata Badiane
"Il y a plusieurs listes d’hommes politiques, de journalistes, de militants en danger dans le monde, mais, sur cette liste, je ne pense pas que ce soit Amina Badiane qui ait demandé qu'on y appose son nom. Mais plutôt une personne qui a peur que ses secrets soient divulgués. Donc, si la police met aux arrêts Amina, cette personne serait dénoncée à coup sûr. Sur la liste, il y a 17 personnes qui sont des personnalités publiques, Premier ministre et célébrités persécutés dans leur pays d'origine pour avoir exprimé leur liberté d'expression", a fait savoir la source de Leral.
A en croire l'informateur de Leral, "figurer sur cette liste, c'est avoir l'asile dans certains pays de l'Union européenne, aux Usa et certains pays du Proche-Orient. Si un de ces pays accepte, on vous exfiltre du Sénégal en douce, sans que personne ne le sache. Elle doit avoir le bras long pour avoir une personne qui a accès à la base et qui peut l'inscrire comme une personne en danger".
Aucune plainte contre elle
"J'avais prévenu des personnes hier (Ndlr: mardi). le temps d'agir qu'elle serait déjà partie. pour en avoir le cœur net, j'ai demandé une copie de la plainte, mais j'ai découvert que personne n'avait porté plainte contre elle".