En effet, souligne-t-il, « depuis 1988 quand je suis entré au Pds, le parti n’a jamais boycotté des élections ». Et de préciser, « le Pds est un patrimoine national. C’est le premier parti d’opposition légal au Sénégal ». Et même s’il avoue que « Wade reste mon mentor, je lui voue un profond respect », Diagne Fada affirme que « aujourd’hui, je réponds de mon propre chef. Je ne suis pas wadiste ».
Revenant sur l’absence de candidat du Pds lors de la dernière élection présidentielle, l’ancien ministre de Wade soutient, qu’au début, il s’agissait de « tirer Karim Wade d’affaire, de montrer que le candidat du Pds était emprisonné ». Mais, a-t-il ajouté, « quand le Conseil constitutionnel a rendu son verdict, il fallait désigner quelqu’un d’autre. En tout cas, c’est ce qui aurait dû être fait dans un parti normal ».
Mais Diagne Fada ne se fait pas de souci pour son ancienne formation politique. « Le Pds a des ressorts, des ressources inépuisables et de grandes capacités de renouvellement ». Mais en ce qui le concerne, l’initiateur des vacances citoyennes sous Wade, dit ne pas vouloir rester dans parti qui « manque d’horizon, qui manque de cap ».
Revenant sur l’absence de candidat du Pds lors de la dernière élection présidentielle, l’ancien ministre de Wade soutient, qu’au début, il s’agissait de « tirer Karim Wade d’affaire, de montrer que le candidat du Pds était emprisonné ». Mais, a-t-il ajouté, « quand le Conseil constitutionnel a rendu son verdict, il fallait désigner quelqu’un d’autre. En tout cas, c’est ce qui aurait dû être fait dans un parti normal ».
Mais Diagne Fada ne se fait pas de souci pour son ancienne formation politique. « Le Pds a des ressorts, des ressources inépuisables et de grandes capacités de renouvellement ». Mais en ce qui le concerne, l’initiateur des vacances citoyennes sous Wade, dit ne pas vouloir rester dans parti qui « manque d’horizon, qui manque de cap ».