« Je rends grâce au Bon Dieu, je remercie ceux qui ont porté leur choix sur ma modeste personne. Le mérite revient à l’ASC Ville de Dakar, les dirigeants, les joueuses et les supporteurs qui sont avec l’équipe. Si je suis élu meilleur coach, et Ndèye Sène meilleure joueuse, c’est parce qu’il y a eu un travail d’ensemble, tout le monde y a participé. Donc je le dédie à tous les supporteurs, les joueuses et aussi les dirigeants » a déclaré Moustapha Gaye.
Il poursuit: « Ce n’était pas du tout facile. A mon arrivée à l’ASC Ville de Dakar, j’avais dit au président Yatma Diaw que mon objectif était de gagner des coupes. L’année dernière, nous avons disputé trois finales. Cette année, le Bon Dieu nous a offert trois coupes. Donc, je ne peux que les remercier. Ma première distinction en tant que meilleur entraîneur, remonte à 22 ans (1995). A cette époque, je venais de débuter ma carrière d’entraîneur. Alors je tenais à remercier ma famille, mes parents et tous ceux qui m’ont assisté.
J’ai été élu avec Mamadou Guèye « PABI » (meilleur entraîneur chez les hommes), c’est un signe parce qu’il a été mon joueur, mon capitaine d’équipe. Aujourd’hui, on est ensemble sur le même plateau, donc c’est une satisfaction. »
Source : Basketsenegal
Il poursuit: « Ce n’était pas du tout facile. A mon arrivée à l’ASC Ville de Dakar, j’avais dit au président Yatma Diaw que mon objectif était de gagner des coupes. L’année dernière, nous avons disputé trois finales. Cette année, le Bon Dieu nous a offert trois coupes. Donc, je ne peux que les remercier. Ma première distinction en tant que meilleur entraîneur, remonte à 22 ans (1995). A cette époque, je venais de débuter ma carrière d’entraîneur. Alors je tenais à remercier ma famille, mes parents et tous ceux qui m’ont assisté.
J’ai été élu avec Mamadou Guèye « PABI » (meilleur entraîneur chez les hommes), c’est un signe parce qu’il a été mon joueur, mon capitaine d’équipe. Aujourd’hui, on est ensemble sur le même plateau, donc c’est une satisfaction. »
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