Pour ce porte-parole désigné de la mouvance présidentielle, « la coalition présidentielle ne va plus accepter ce coup dur qui lui est passé par-dessus la tête lors des dernières locales. Des personnes qui ne peuvent ni lire ni écrire le français ne peuvent plus être promues à des postes de responsabilité au sein des institutions locales de Nioro », attestent les responsables de la grande majorité présidentielle.
Pour Djm Momath Bâ, « ceci doit être une préoccupation de tout un chacun et faire l’objet d’une forte mobilisation, partout dans le département et les coins les plus reculés».
Ainsi dans ses convictions, le directeur de l’Aprosi estime que l’investiture des personnes analphabètes dans les institutions locales est souvent facteur de fuite ou disqualification des investisseurs étrangers dans les départements ou communes. Beaucoup d’investisseurs étrangers, faute d’interlocuteurs au sein des collectivités et institutions locales, rebroussent chemin. Ce qui en l’occurrence crée d’importantes pertes des collectivités territoriales en investissement et autres partenaires au développement.
Revenant par ailleurs sur les incidents du 3 mars dernier, le responsable politique de Nioro comme son président, dit ne plus permettre, mieux accepter, que ce genre d’incidents se reproduise à Nioro. Non pas, a-t-il dit, pour proférer des menaces vis-à-vis des jeunes ou des parents, mais pour sensibiliser surtout les chefs de famille à parler à leurs enfants et leur enseigner surtout les fondamentaux de la citoyenneté.
Sud Quotidien
Pour Djm Momath Bâ, « ceci doit être une préoccupation de tout un chacun et faire l’objet d’une forte mobilisation, partout dans le département et les coins les plus reculés».
Ainsi dans ses convictions, le directeur de l’Aprosi estime que l’investiture des personnes analphabètes dans les institutions locales est souvent facteur de fuite ou disqualification des investisseurs étrangers dans les départements ou communes. Beaucoup d’investisseurs étrangers, faute d’interlocuteurs au sein des collectivités et institutions locales, rebroussent chemin. Ce qui en l’occurrence crée d’importantes pertes des collectivités territoriales en investissement et autres partenaires au développement.
Revenant par ailleurs sur les incidents du 3 mars dernier, le responsable politique de Nioro comme son président, dit ne plus permettre, mieux accepter, que ce genre d’incidents se reproduise à Nioro. Non pas, a-t-il dit, pour proférer des menaces vis-à-vis des jeunes ou des parents, mais pour sensibiliser surtout les chefs de famille à parler à leurs enfants et leur enseigner surtout les fondamentaux de la citoyenneté.
Sud Quotidien