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Nous soutenons le chef de l'Etat Macky Sall et défendons la mère patrie au prix de notre vie (Samuel Sarr)

C'est au Sénégal qu'on aura vu une génération d'opposants qui aspirent à diriger le pays et qui offrent un mauvais exemple à la jeunesse, en tentant de défier les institutions de la République : la justice par sa plus haute juridiction le Conseil constitutionnel, les Forces de sécurité, le Gouvernement, etc.


Rédigé par leral.net le Vendredi 17 Juin 2022 à 03:22 | | 0 commentaire(s)|

Leur immaturité insouciante n'a même pas épargné les institutions religieuses, qui n'ont cessé de renouveler leur estime au chef de l'Etat Macky Sall.

Nous sommes fiers de répéter que le Sénégal est une référence en Afrique à cause de sa culture démocratique, de son respect de l'Etat de droit et des libertés.

Depuis 2012, cette posture envieuse de notre pays est renforcée par le président de la République, qui n'a cessé de créer des cadres de concertation, de dialogue inclusif avec toutes les forces vives de la Nation. D'ailleurs, toutes les réformes introduites dans le processus électoral depuis 2012, ont été mises en œuvre d'un commun accord entre l'opposition, le pouvoir et les non alignés, devant la société civile avertie.

Ce n'est pas le 31 Juillet 2022 que le Sénégal organisera la première élection depuis son indépendance. Nous savons organiser des élections, car notre système électoral est témoin de deux alternances démocratiques. En matière électorale, nous avons fait mieux que certaines démocraties occidentales.

C'est ce système électoral et quasiment avec les mêmes fonctionnaires de l'administration, qui ont organisé les élections qui avaient porté Khalifa Sall à la tête de la Mairie de Dakar en 2009, puis en 2014.

Ce même système a porté Ousmane Sonko à la mairie de Ziguinchor, Barthélémy Dias à Dakar et d'autres opposants. Tous les Maires de l'opposition élus lors des élections locales dernières, l'ont été sur la base de ce système, qui a fini de convaincre les sceptiques sur sa crédibilité et " sa fiabilité", pour reprendre les mots des observateurs de l'Union européenne.

Le Sénégal dispose de l'un des processus électoraux les plus fiables en Afrique. Pourquoi alors, Ousmane Sonko qui a informé à travers les réseaux sociaux, des violations de la loi par la liste de Yewwi qu'il dirige, veut-il maintenant en vouloir aux fonctionnaires de la DGE et aux Juges ? Ces opposants sponsorisés par des forces occultes, doivent-ils en vouloir aux autres pour des fautes qu'ils ont eux-mêmes commises ? S'ils ne savent pas confectionner une liste, c'est de leur faute. Sur les 8 listes validées, 7 sont de l'opposition. Cela aussi, il est utile de le rappeler.

Seuls les nullards de Yewwi ont vu leur liste titulaire rejetée et les suppléants auront la chance de les remplacer dignement. Pour être élus députés, Sonko et Khalifa et leur bande veulent pousser les Sénégalais à verser leur sang ou à mourir à la place de leurs épouses, de leurs enfants etc.

En 2019, Khalifa Sall et Karim Wade n'avaient pas participé à la présidentielle et leur absence n'avait pas grippé la machine électorale. L'absence de Ousmane Sonko à ces élections, du fait de leur propre turpitude, ne saurait entacher la sincérité du scrutin. Les chiens aboient, les Sénégalais votent !

L'on comprend maintenant qu'Ousmane Sonko cache mal un agenda politique dans lequel, il a engagé d'autres membres de Yewwi qui tardent à comprendre le jeu dangereux du leader de Pastef.

Mais, une chose doit être claire cette fois-ci. Le peuple sénégalais fera face à ces opposants qui veulent prendre le pays en otage. Dethie Fall, Khalifa Sall et Cheikh Tidiane Youm, seront responsables de tout dérapage durant la manifestation du 17 Juin 2022, au-delà même de Ousmane Sonko. Car ils ont engagé leur nom dans ces manifestations pour avoir déposé la demande non autorisée. La défiance à l'autorité ne sera pas tolérée aujourd'hui. Que chacun prenne ses responsabilités. Car il est inadmissible que des gens qui n'ont jamais créé un tout petit emploi, puissent organiser des manifestations interdites, en mettant en péril les activités économiques à l'approche de la Tabaski.

Jusqu'à son dernier souffle, le Peuple sénégalais défendra les institutions et son pays, contre ces envahisseurs étrangers qui instrumentalisent ces ennemis du Sénégal regroupés dans Yewwi.

Par ailleurs, nous sommes au courant de toutes les contradictions au sein de cette coalition, que les réunions nocturnes n'ont pas pu arranger. Détrompez-vous si vous espérer pouvoir renverser le gouvernement. Le Sénégal est une République, avec des Institutions fortes incarnées par des hommes qui ont le sens de l'Etat et de la responsabilité. C'est le lieu de rendre hommage à nos Forces de sécurité. A nos vaillants soldats qui ont délogé Salif Sadio et ses complices. Nous leur renouvelons notre considération et notre estime.

Par ailleurs, rappelons que le Conseil constitutionnel a dit le droit. Et les formations en compétition sont tenues de se conformer à la décision des Sages. S'il faudrait trouver des arrangements, il serait mieux de laisser tout le monde participer au scrutin, même ceux qui n'ont pas eu le nombre de parrainages demandés. Ce serait plus juste d'ailleurs, que de faire des faveurs à ces enfants de Yewwi, qui pensent pouvoir régner par l'insolence et la terreur des réseaux sociaux. C'est fini ça.

La loi sera appliquée dans toute sa rigueur. Aucun dérapage ne sera toléré et la réplique sera à la hauteur de l'affront. Et on ne se perdrait dans les quartiers, s'il fallait passer à l'action.

Et s'il faut verser du sang pour sauvegarder le Sénégal, le nôtre coulera... Sans réserve, nous nous engageons à défendre le président de la République Macky Sall, qui a fini de convaincre ses compatriotes qui ont adhéré à sa Vision.

Défendre le chef de l'Etat qui se donne pour son peuple, est un acte de patriotisme et d'amour pour son pays.

Nous assumons tous nos actes d’aujourd'hui et de demain. Pour l’histoire, je tenais à rappeler à ces petits mousquetaires de Yewwi, que j’ai passé 14 mois (1993/1994) en prison étant très jeune, sous le régime d’Abdou Diouf (donc Khalifa SALL).

Nous avons choisi notre camp, qui est celui des patriotes engagés face aux vendus qui ont signé un pacte avec les cartels qui cherchent depuis la découverte du pétrole, à installer le chaos dans le pays.

Enfin, en attendant, le procès de Adji Sarr etd' Ousmane Sonko ainsi que le verdict sur l'affaire Ndiaga Diouf, nous donnons rendez-vous à Khalifa Sall sur la mort des policiers le 16 février 1994, alors que Djibo Kâ était Ministre de l'Intérieur.



Samuel Sarr
Ancien Ministre d’Etat
Président du Parti Libéral Social Sénégalais (PLSS)

( Les News )