Le topo est simple, faire échouer le maximum de candidats, qui peuvent être une centaine, et les amener à mettre la main à la poche, moyennant dix mille (10.000), vingt mille (20.000) ou vingt-cinq mille (25.000) FCfa.
Il se trouve que ce jour, la collecte n'a pas été "fameuse", seulement quatre cent cinquante mille (450.000) FCfa, réunis par les candidats qui ont tous échoué au test dit "créneau". Les railleries vont bon train pour ce montant, car il est très loin des deux (2) millions versés par un moniteur aux organisateurs de l'examen.
Cette corruption à grande échelle commence par les gérants des auto-écoles qui convainquent les candidats aux permis de conduire, lesquels acceptent le deal, l'essentiel c'est d'avoir le sésame. Ensuite, c'est au tour des moniteurs de les "éliminer" volontairement, avant d'encaisser les pots-de-vin qui, dans l'année, peuvent se chiffrer à des centaines de millions de francs Cfa. Et au vu du taux de mortalité galopant au niveau des routes, les responsabilités sont situées entre ce lot.
Il se trouve que ce jour, la collecte n'a pas été "fameuse", seulement quatre cent cinquante mille (450.000) FCfa, réunis par les candidats qui ont tous échoué au test dit "créneau". Les railleries vont bon train pour ce montant, car il est très loin des deux (2) millions versés par un moniteur aux organisateurs de l'examen.
Cette corruption à grande échelle commence par les gérants des auto-écoles qui convainquent les candidats aux permis de conduire, lesquels acceptent le deal, l'essentiel c'est d'avoir le sésame. Ensuite, c'est au tour des moniteurs de les "éliminer" volontairement, avant d'encaisser les pots-de-vin qui, dans l'année, peuvent se chiffrer à des centaines de millions de francs Cfa. Et au vu du taux de mortalité galopant au niveau des routes, les responsabilités sont situées entre ce lot.