"Je ne veux plus parler de ces choses-là. Vous les journalistes, vous êtes très forts quand on vous dit une chose vous écrivez ce que vous voulez. Le séminaire que nous avons organisé ne portait pas sur l'emprunt obligataire de Dakar. Il s'agissait, pour toutes les villes d'Afrique, de réfléchir sur la question de l'emprunt qui est aujourd'hui un moyen de financement. Et je voudrais vous dire que nous avions beaucoup apprécié la présence du ministère des Finances par son Secrétaire général, par les directeurs, et nous avons fait un débat fructueux", a dit Khalifa Sall, hier, en marge de la session du Conseil municipal qu'il présidait.
Meurtri par cette affaire, Khalifa Sall de charger la presse : "Tout ce que la presse a retenu, c'est comme si, on avait repris le problème de l'emprunt obligataire de Dakar. Cette question est au niveau du tribunal, elle est à la Cour suprême. Donc, c'est une affaire en justice. Ni moi ni quelqu'un d'autre n'a plus le droit d'en parler. Nous avons fait confiance à la justice qui va trancher".
Se voulant plus clair, renseigne Le Populaire, il a ajouté : "C'est vraiment l'occasion pour moi de remercier le ministre des Finances. Deux directeurs et le Secrétaire général sont venus animer des ateliers et être des panélistes. Et c'est ce qu'il fallait retenir et non cette mauvaise polémique autour de l'emprunt obligataire. C'est vrai que vous (la presse), les trains qui arrivent à l'heure ne vous intéressent pas du tout, vous voulez vendre. Ces deux jours de sortie, c'est comme si on se boxait là-bas".
Meurtri par cette affaire, Khalifa Sall de charger la presse : "Tout ce que la presse a retenu, c'est comme si, on avait repris le problème de l'emprunt obligataire de Dakar. Cette question est au niveau du tribunal, elle est à la Cour suprême. Donc, c'est une affaire en justice. Ni moi ni quelqu'un d'autre n'a plus le droit d'en parler. Nous avons fait confiance à la justice qui va trancher".
Se voulant plus clair, renseigne Le Populaire, il a ajouté : "C'est vraiment l'occasion pour moi de remercier le ministre des Finances. Deux directeurs et le Secrétaire général sont venus animer des ateliers et être des panélistes. Et c'est ce qu'il fallait retenir et non cette mauvaise polémique autour de l'emprunt obligataire. C'est vrai que vous (la presse), les trains qui arrivent à l'heure ne vous intéressent pas du tout, vous voulez vendre. Ces deux jours de sortie, c'est comme si on se boxait là-bas".