Pr Moussa Samb demande l’invalidation du vote à Touba
Professeur agrégé de droit à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, Moussa Samb estime que le vote doit être repris à Touba, au regard des incidents qui ont entaché le bon déroulement du scrutin dans la cité religieuse.
« Il n’y a pas eu de vote dans 220 bureaux de vote » ; ce qui selon lui correspond à « 41% des électeurs de Touba qui n’ont pas voté. Comment peut-on valider de telles élections ? Comment peut-on se proclamer vainqueur d’élections où les bulletins de vote sont éparpillés (…) ? », s’est interrogé l’invité du Grand jury de Rfm, ce dimanche.
Selon le professeur de droit toujours, c’est au Conseil constitutionnel de trancher en faveur d’une reprise du vote dans cette partie du pays. Etant donné que « la proclamation provisoire des résultats par la commission nationale (Cena : ndlr) n’est pas une proclamation définitive. Il appartient au Conseil constitutionnel de jouer son rôle et d’imposer à reprendre les élections là où il n’y a pas eu de vote », suggère-t-il.
Professeur agrégé de droit à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, Moussa Samb estime que le vote doit être repris à Touba, au regard des incidents qui ont entaché le bon déroulement du scrutin dans la cité religieuse.
« Il n’y a pas eu de vote dans 220 bureaux de vote » ; ce qui selon lui correspond à « 41% des électeurs de Touba qui n’ont pas voté. Comment peut-on valider de telles élections ? Comment peut-on se proclamer vainqueur d’élections où les bulletins de vote sont éparpillés (…) ? », s’est interrogé l’invité du Grand jury de Rfm, ce dimanche.
Selon le professeur de droit toujours, c’est au Conseil constitutionnel de trancher en faveur d’une reprise du vote dans cette partie du pays. Etant donné que « la proclamation provisoire des résultats par la commission nationale (Cena : ndlr) n’est pas une proclamation définitive. Il appartient au Conseil constitutionnel de jouer son rôle et d’imposer à reprendre les élections là où il n’y a pas eu de vote », suggère-t-il.