Le président de la République appelle les journaux à migrer vers le numérique ou à chercher des moyens à allier les deux. « Aujourd’hui, les gens n’ont plus le temps. Avec internet, l’avenir de la presse écrite est menacé. Donc, il faudra trouver les moyens pour faire avec », déclare-t-il.
An ce qui concerne la régulation de la presse, le président Macky Sall estime que c’est au Synpics de mener cette bataille. « Le SYNPICS doit mener le débat pour la régulation de la presse», estime-t-il. A cet effet, il soutient que le milieu de la presse doit être assaini au vu des difficultés qu’on note dans cette corporation. « Chacun ouvre un organe de presse. Le problème de la presse, c’est le fait d’avoir 20 journaux. Ce n’est pas rentable du point de vue économique », a lancé le Président Sall.
Par ailleurs, il appelle les journaux à étudier la possibilité de migrer vers le numérique qui les menace. « Avec internet, l’avenir de la presse écrite est menacé. Donc, il faudra trouver les moyens pour faire avec », conseille-t-il. Il n’empêche, il souligne qu’il va continuer à apporter son soutien à la presse. « Nous allons continuer à aider la presse pour la survie de notre démocratie », conclut-il. Il faudra noter, que le secrétaire général du Synpics a traité certains patrons de presse, de délinquants à col blanc, qui ne respectent pas le minimum des droits de leurs employés reporters.
Le Témoin
An ce qui concerne la régulation de la presse, le président Macky Sall estime que c’est au Synpics de mener cette bataille. « Le SYNPICS doit mener le débat pour la régulation de la presse», estime-t-il. A cet effet, il soutient que le milieu de la presse doit être assaini au vu des difficultés qu’on note dans cette corporation. « Chacun ouvre un organe de presse. Le problème de la presse, c’est le fait d’avoir 20 journaux. Ce n’est pas rentable du point de vue économique », a lancé le Président Sall.
Par ailleurs, il appelle les journaux à étudier la possibilité de migrer vers le numérique qui les menace. « Avec internet, l’avenir de la presse écrite est menacé. Donc, il faudra trouver les moyens pour faire avec », conseille-t-il. Il n’empêche, il souligne qu’il va continuer à apporter son soutien à la presse. « Nous allons continuer à aider la presse pour la survie de notre démocratie », conclut-il. Il faudra noter, que le secrétaire général du Synpics a traité certains patrons de presse, de délinquants à col blanc, qui ne respectent pas le minimum des droits de leurs employés reporters.
Le Témoin