La colère des Thiantacounes détenus à la Maison d’Arrêt et de Correction de Thiès, ne faiblit pas. Ces disciples de Cheikh Bethio Thioune incarcérés pour l’affaire du double meurtre de Médinatoul Salam, poursuivent leur grève de la faim. Les tentatives du personnel pénitentiaire de les dissuader, sont restées vaines.
Ils ne veulent ni plus ni moins que l’ouverture de leur procès, maintenant que le dossier est bouclé depuis 5 ans. A défaut d’un procès dans un délai raisonnable, ces détenus au nombre de seize (16) veulent une liberté provisoire, comme leur marabout, Cheikh Bethio Thioune.
Ils menacent de se suicider dans 72 heures si leurs revendications n’ont pas été satisfaites. Avant-hier, l’un d’eux, pensionnaire de la chambre 12 du nom d’Abdoulaye Diouf, a tenté de mettre fin à sa vie en buvant de l’eau de Javel, avant d’être évacué à l’hôpital où il est toujours en observation.
Selon les informations de Walquotidien, un autre de ses camarades a encore tenté hier le coup. Tous les deux sont hospitalisés à l’hôpital régional de Thiès. Interpellé sur la situation qui prévaut à la prison de Thiès, le ministre de la Justice a annoncé l’ouverture du procès, sans faire de précision sur la date.
Ils ne veulent ni plus ni moins que l’ouverture de leur procès, maintenant que le dossier est bouclé depuis 5 ans. A défaut d’un procès dans un délai raisonnable, ces détenus au nombre de seize (16) veulent une liberté provisoire, comme leur marabout, Cheikh Bethio Thioune.
Ils menacent de se suicider dans 72 heures si leurs revendications n’ont pas été satisfaites. Avant-hier, l’un d’eux, pensionnaire de la chambre 12 du nom d’Abdoulaye Diouf, a tenté de mettre fin à sa vie en buvant de l’eau de Javel, avant d’être évacué à l’hôpital où il est toujours en observation.
Selon les informations de Walquotidien, un autre de ses camarades a encore tenté hier le coup. Tous les deux sont hospitalisés à l’hôpital régional de Thiès. Interpellé sur la situation qui prévaut à la prison de Thiès, le ministre de la Justice a annoncé l’ouverture du procès, sans faire de précision sur la date.
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