« Regardez au fond de la salle, il y a Me Ciré Cledor Ly, assis en civil et qui prend des notes. Leur façon de se défendre, c’est de se mettre au fond, prendre des notes et, le soir, aller plaider devant les caméras de télévision. Ce n’est pas ça la justice chez nous. Nous on est là », fulmine-t-il. Revenant sur l'agression de Wade-fils, il considère que l'ancien ministre d'Etat faisait du cinéma. « Karim est tombé dans son propre piège. Il a attendu qu’il soit devant ses militants pour s’agiter disant qu’il est brutalisé, c’est faux », s'insurge-t-il.
Mais, ce n’est pas tout. Le e bâtonnier a tenu à régler de vieux comptes en soulignant que quand Karim dit que son père lui remettait de l’argent, à lui Me Thiam, c’est qu’il est en train de plagier le président Ali Bongo du Gabon. « C’est lui (Bongo-fils) qui disait à l’opposition gabonaise : "Du temps de mon père, vous receviez de grosses enveloppes jusqu’à même trébucher" ». Aussi, se lave-t-il à grande eau : « Je n’ai rien reçu ». Répondant par ricochet à Me Wade, le bâtonnier dira : « Karim a commis des infractions, il sera jugé ici et non dans la rue. Il ne peut pas être président de la République ni maintenant ni en 2017. Je le dis à vous Me Wade qui y croyez fermement », a indiqué l’avocat qui fait remarquer, par ailleurs, que de 2000 à 2012, il y a eu autant de Gardes des Sceaux que les régimes de Abdou Diouf et de Senghor cumulés.
Mais, ce n’est pas tout. Le e bâtonnier a tenu à régler de vieux comptes en soulignant que quand Karim dit que son père lui remettait de l’argent, à lui Me Thiam, c’est qu’il est en train de plagier le président Ali Bongo du Gabon. « C’est lui (Bongo-fils) qui disait à l’opposition gabonaise : "Du temps de mon père, vous receviez de grosses enveloppes jusqu’à même trébucher" ». Aussi, se lave-t-il à grande eau : « Je n’ai rien reçu ». Répondant par ricochet à Me Wade, le bâtonnier dira : « Karim a commis des infractions, il sera jugé ici et non dans la rue. Il ne peut pas être président de la République ni maintenant ni en 2017. Je le dis à vous Me Wade qui y croyez fermement », a indiqué l’avocat qui fait remarquer, par ailleurs, que de 2000 à 2012, il y a eu autant de Gardes des Sceaux que les régimes de Abdou Diouf et de Senghor cumulés.