Le Comité de pilotage du Projet d’Intégration de l’Adaptation aux Changements climatiques dans le développement durable au Sénégal (INTAC) vient de tenir une réunion pour la clôture officielle de la première phase dudit projet. Il est financé par le Gouvernement du Japon dans le cadre du Programme Africain d’Adaptation (PAA) avec la collaboration du Programme des nations unies pour le développement (PNUD) et la Cellule d’appui aux Projets (CAP). Cependant, la Direction de l’Environnement du Ministère de l’Environnement tarde à donner son accord pour l'entame de la deuxième phase du projet.
Après deux ans d’exécution technique et financière, les membres du Comité de pilotage ont magnifié les résultats assez probants obtenus par l’Unité de Coordination et se sont réjouis de la qualité des interventions. Le coordonnateur du projet, Babacar Diouf, a profité de cette séance pour présenter les grandes orientations du nouveau document de projet et s’est félicité de l’engagement des parties prenantes depuis le début du projet.
Compte tenu de la pertinence des objectifs poursuivis et de leur cohérence avec les orientations stratégiques définies par l’Etat, les membres du Comité de pilotage, dont les principaux partenaires techniques et financiers, ont vivement recommandé la diligence de la mobilisation autour de ce projet assez innovant. Vivement alors que démarre la seconde phase pour une meilleure prise en charge des préoccupations liées aux effets du changement climatique.
Après deux ans d’exécution technique et financière, les membres du Comité de pilotage ont magnifié les résultats assez probants obtenus par l’Unité de Coordination et se sont réjouis de la qualité des interventions. Le coordonnateur du projet, Babacar Diouf, a profité de cette séance pour présenter les grandes orientations du nouveau document de projet et s’est félicité de l’engagement des parties prenantes depuis le début du projet.
Compte tenu de la pertinence des objectifs poursuivis et de leur cohérence avec les orientations stratégiques définies par l’Etat, les membres du Comité de pilotage, dont les principaux partenaires techniques et financiers, ont vivement recommandé la diligence de la mobilisation autour de ce projet assez innovant. Vivement alors que démarre la seconde phase pour une meilleure prise en charge des préoccupations liées aux effets du changement climatique.