D’après le rapport de la Banque mondiale, 62% de poissons de consommation proviendront de l’aquaculture d’ici 2030. Avec un taux de croissance annuelle de 5,8%, l’aquaculture constitue aujourd’hui une « alternative fiable » pour combler le déficit en approvisionnement des produits halieutiques, selon le ministre Alioune Ndoye.
D’où l’intérêt selon lui, de travailler en synergie entre les organes de l’Etat, pour plus d’efficacité dans les actions publiques. « L’objet de ce protocole est de mutualiser les efforts entre les différentes structures signataires, pour amorcer le développement d’une aquaculture industrielle et durable au Sénégal », note le ministre de la Pêche et de l’Economie maritime.
Pour mieux contribuer à la lutte pour la sécurité alimentaire, il est question de sortir du cadre des fermes aquacoles de type communautaire.
L’urgence aujourd’hui, selon Alioune Ndoye, c’est d’aller vers la mise sur pied de structures industrielles pour répondre à la demande de fourniture de protéines d’origine animale, d’emplois des jeunes et de création de richesse.
« Ce protocole d’accord permettra d’inciter le secteur privé national comme international, à franchir le pas pour un investissement massif dans l’aquaculture », affirme le ministre, qui s’engage à apporter une dotation d’un (01) milliard pour renforcer l’attractivité des projets aquacoles.
Une démarche saluée par Dr. Tening Sène directeur de l’Agence nationale de l’aquaculture (ANA). « Le projet aquacole initié depuis 2016, a pour objectif d’amorcer le développement de l’aquaculture industrielle au Sénégal, mais également de lever la contrainte de la problématique de l’aliment de poisson », a relevé Mme Sène. Depuis 2016, année de lancement du projet, des réalisations ont été entreprises en collaboration avec le Pnud et le BOS.
Il s’agit de la réalisation d’étude de faisabilité, de la sécurisation du foncier dans la partie marine à Diakhanor, dans la commune de Palmarin et une partie continentale dans le Diakhel, dans la région de Saint-Louis. Il y a aussi la création par le Fonsis, avec un capital d’un milliard (01), de la société d’exploitation dénommée Aqua pôle.
Outre la mise à disposition d’une enveloppe d’un milliard au sous-secteur de l’aquaculture, il est prévu selon la tutelle, la mise en place d’une ligne de financement pour développer un réseau de producteurs aquacoles.
Le Témoin
D’où l’intérêt selon lui, de travailler en synergie entre les organes de l’Etat, pour plus d’efficacité dans les actions publiques. « L’objet de ce protocole est de mutualiser les efforts entre les différentes structures signataires, pour amorcer le développement d’une aquaculture industrielle et durable au Sénégal », note le ministre de la Pêche et de l’Economie maritime.
Pour mieux contribuer à la lutte pour la sécurité alimentaire, il est question de sortir du cadre des fermes aquacoles de type communautaire.
L’urgence aujourd’hui, selon Alioune Ndoye, c’est d’aller vers la mise sur pied de structures industrielles pour répondre à la demande de fourniture de protéines d’origine animale, d’emplois des jeunes et de création de richesse.
« Ce protocole d’accord permettra d’inciter le secteur privé national comme international, à franchir le pas pour un investissement massif dans l’aquaculture », affirme le ministre, qui s’engage à apporter une dotation d’un (01) milliard pour renforcer l’attractivité des projets aquacoles.
Une démarche saluée par Dr. Tening Sène directeur de l’Agence nationale de l’aquaculture (ANA). « Le projet aquacole initié depuis 2016, a pour objectif d’amorcer le développement de l’aquaculture industrielle au Sénégal, mais également de lever la contrainte de la problématique de l’aliment de poisson », a relevé Mme Sène. Depuis 2016, année de lancement du projet, des réalisations ont été entreprises en collaboration avec le Pnud et le BOS.
Il s’agit de la réalisation d’étude de faisabilité, de la sécurisation du foncier dans la partie marine à Diakhanor, dans la commune de Palmarin et une partie continentale dans le Diakhel, dans la région de Saint-Louis. Il y a aussi la création par le Fonsis, avec un capital d’un milliard (01), de la société d’exploitation dénommée Aqua pôle.
Outre la mise à disposition d’une enveloppe d’un milliard au sous-secteur de l’aquaculture, il est prévu selon la tutelle, la mise en place d’une ligne de financement pour développer un réseau de producteurs aquacoles.
Le Témoin