En tournée dans la bassin arachidier, pour s’enquérir de l’état d’avancement de la distribution des semences et des engrais, le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a tenu à répondre à certains analystes du domaine agricole. Ces derniers, qui soutiennent que les semences sont de mauvaise qualité, font dans l'amalgame, selon le ministre. « Partout où nous avons passé, on n’a pas constaté une seule fois des récriminations concernant la qualité des semences », dit-il ajoutant : « Je voudrais saisir cette occasion pour dire à certains analystes du secteur agricole, souvent en déconnexion avec les réalités objectives, qu'en matière de commercialisation semencière, il faut distinguer deux circuits. Le circuit officiel, c’est-à-dire le circuit des semences subventionnées, qui représente 75 milles tonnes sur un capital de 125 milles tonnes, soit environ 60%, et le circuit parallèle qui représente 40% ».
Selon Dr Papa Abdoulaye Seck, ces analystes parlent sans tenir en compte ces sous-ensembles. S’agissant du circuit officiel, il rappelle à ces analystes que tout a été contrôlé rigoureusement, selon les critères scientifiques, avant d’être accepté par les Directions régionales du développement rural (Drdr) et commercialisé. « Quand on parle de qualité des semences, il est important de connaitre de quel sous ensemble il s’agit. Qu’on n’aille pas chercher des semences dans les « louma » pour dire après que les semences ne sont pas de bonnes qualités. On rend compte par rapport à un cahier de charge et dans le cahier de charge de l’Etat les 75 milles tonnes de semences sont subventionnées », dira-t-il.
Saly Sagne
Envoyée spéciale
Selon Dr Papa Abdoulaye Seck, ces analystes parlent sans tenir en compte ces sous-ensembles. S’agissant du circuit officiel, il rappelle à ces analystes que tout a été contrôlé rigoureusement, selon les critères scientifiques, avant d’être accepté par les Directions régionales du développement rural (Drdr) et commercialisé. « Quand on parle de qualité des semences, il est important de connaitre de quel sous ensemble il s’agit. Qu’on n’aille pas chercher des semences dans les « louma » pour dire après que les semences ne sont pas de bonnes qualités. On rend compte par rapport à un cahier de charge et dans le cahier de charge de l’Etat les 75 milles tonnes de semences sont subventionnées », dira-t-il.
Saly Sagne
Envoyée spéciale