« C’est l’illustration parfaite du caractère complexe et interdépendant de la justice », a dit Souleymane Télico. Qui poursuit, « la dépendance du procureur, sous contrôle du ministère de la justice peut expliquer l’absence de poursuites ». Le président de l’UMS déplore, cependant, que « cela déteint sur l’image que le citoyen a de la justice ».
Dans tous les cas, indique-t-il, « le procureur doit traiter les dossiers de manière judiciaire pour que le travail des corps de contrôle ait un sens. Cela ne sert à rien de perdre autant de temps et d’énergie pour que ces rapports soient rangés dans les tiroirs ».
Dans tous les cas, indique-t-il, « le procureur doit traiter les dossiers de manière judiciaire pour que le travail des corps de contrôle ait un sens. Cela ne sert à rien de perdre autant de temps et d’énergie pour que ces rapports soient rangés dans les tiroirs ».