Elle est partie mais laisse derrière elle un débat passionné sur la prise en charge des urgences dans les hôpitaux publics, souvent indexée par les patients. La mort d’Aïcha Diallo, qui serait âgée de 12 ans, dans des conditions assez « dramatiques », est en train de prendre une nouvelle dimension.
L’hôpital de Pikine indexé, est sorti de sa réserve après que le journal Vox Populi a dévoilé cette information selon laquelle le ministère de la Santé et de l’Action sociale a décidé de donner une suite à cette affaire, avec l’ouverture d’une enquête.
La direction de l’hôpital a décidé de rétablir la « vérité » des faits. Ababacar Diop, chirurgien, par ailleurs chef du service des urgences, explique : « l’enfant est reçue le 13 octobre dernier aux urgences et mise en observation avant d’être acheminée au bloc opératoire le lendemain samedi vu la complexité de son état et après avis des gynécologues. Elle y subit une intervention chirurgicale et, est admise en hospitalisation à la chirurgie.
Puis, elle a été transférée en réanimation. » Quid du montant de 200 mille Fcfa qui aurait été réclamé avant l’admission aux urgences de la patiente ? Il a rejeté en bloc ces accusations et précise : « les factures compilées ne dépassent pas les 200 mille francs Cfa évoqués. Le tout révélé depuis lors au niveau des services compétents, s’élève à 114 000 Fcfa et n’a été payé que le lundi 16 octobre dernier après le décès de la petite ».
Il informe que plusieurs actes ont été exonérés à l’image de l’échographie d’urgence, la mise en observation aux urgences, l’acte opératoire et l’hospitalisation en chirurgie.
Le Quotidien
L’hôpital de Pikine indexé, est sorti de sa réserve après que le journal Vox Populi a dévoilé cette information selon laquelle le ministère de la Santé et de l’Action sociale a décidé de donner une suite à cette affaire, avec l’ouverture d’une enquête.
La direction de l’hôpital a décidé de rétablir la « vérité » des faits. Ababacar Diop, chirurgien, par ailleurs chef du service des urgences, explique : « l’enfant est reçue le 13 octobre dernier aux urgences et mise en observation avant d’être acheminée au bloc opératoire le lendemain samedi vu la complexité de son état et après avis des gynécologues. Elle y subit une intervention chirurgicale et, est admise en hospitalisation à la chirurgie.
Puis, elle a été transférée en réanimation. » Quid du montant de 200 mille Fcfa qui aurait été réclamé avant l’admission aux urgences de la patiente ? Il a rejeté en bloc ces accusations et précise : « les factures compilées ne dépassent pas les 200 mille francs Cfa évoqués. Le tout révélé depuis lors au niveau des services compétents, s’élève à 114 000 Fcfa et n’a été payé que le lundi 16 octobre dernier après le décès de la petite ».
Il informe que plusieurs actes ont été exonérés à l’image de l’échographie d’urgence, la mise en observation aux urgences, l’acte opératoire et l’hospitalisation en chirurgie.
Le Quotidien