Il a beau avoir été le meilleur passeur européen de la saison 2011/2012 (17 offrandes), Mesut Özil sait qu’il n’est pas un titulaire indiscutable au Real Madrid. Dans un club où la concurrence est peut-être encore plus impitoyable, l’Allemand ne cesse d’être trimballé par son coach José Mourinho. Et samedi dernier, à l’occasion du match (perdu) contre le Betis Séville, le Special One n’a une nouvelle fois pas hésité à le sortir à la mi-temps.
Une sanction qui se répète pour le seul joueur de la Casa Blanca à avoir été autant puni de la sorte (3 fois cette saison). Dès lors, faut-il y voir un nouveau malaise au sein du groupe d’un Mourinho décrit aujourd’hui comme un entraîneur de plus en plus esseulé ? La presse espagnole n’a, en tout cas, pas manqué de mettre en avant la sortie prématurée d’Özil en Andalousie. « Özil, l’homme pointé du doigt », titre ABC, tandis que Marca annonce que « Mourinho blesse encore une fois Özil ».
Mis en concurrence avec le Croate Luka Modric, Özil est-il réellement une victime du « Mou » ou paie-t-il tout simplement un rendement nettement moins bon que celui de la saison passée ? La théorie de l’acharnement ne semble en tout cas pas tenir. « Il joue moins parce qu’il ne me donne pas de minutes de qualité. Quand ce sera le cas, il aura plus de temps de jeu. Ici, on ne fait pas de cadeau », déclarait Mourinho avant le match de Ligue des Champions contre l’Ajax Amsterdam (1-4)… quatre jours avant de le titulariser contre le Barça (2-2).
Mais cette fois-ci, entre sa sortie à la mi-temps ainsi qu’un match contre Manchester City passé intégralement sur le banc, Özil a vécu une sale semaine. Peu habitué à afficher ses états d’âme sur la place publique, l’international germanique est-il en conflit avec son coach ? Une chose est sûre, après l’épisode du t-shirt de Ramos (le défenseur espagnol avait joué un match avec un t-shirt floqué Özil pour lui témoigner son soutien), la crise de résultats et un Mourinho annoncé chaque jour de plus en plus partant, le cas Özil risque de prendre de l’ampleur.
Une sanction qui se répète pour le seul joueur de la Casa Blanca à avoir été autant puni de la sorte (3 fois cette saison). Dès lors, faut-il y voir un nouveau malaise au sein du groupe d’un Mourinho décrit aujourd’hui comme un entraîneur de plus en plus esseulé ? La presse espagnole n’a, en tout cas, pas manqué de mettre en avant la sortie prématurée d’Özil en Andalousie. « Özil, l’homme pointé du doigt », titre ABC, tandis que Marca annonce que « Mourinho blesse encore une fois Özil ».
Mis en concurrence avec le Croate Luka Modric, Özil est-il réellement une victime du « Mou » ou paie-t-il tout simplement un rendement nettement moins bon que celui de la saison passée ? La théorie de l’acharnement ne semble en tout cas pas tenir. « Il joue moins parce qu’il ne me donne pas de minutes de qualité. Quand ce sera le cas, il aura plus de temps de jeu. Ici, on ne fait pas de cadeau », déclarait Mourinho avant le match de Ligue des Champions contre l’Ajax Amsterdam (1-4)… quatre jours avant de le titulariser contre le Barça (2-2).
Mais cette fois-ci, entre sa sortie à la mi-temps ainsi qu’un match contre Manchester City passé intégralement sur le banc, Özil a vécu une sale semaine. Peu habitué à afficher ses états d’âme sur la place publique, l’international germanique est-il en conflit avec son coach ? Une chose est sûre, après l’épisode du t-shirt de Ramos (le défenseur espagnol avait joué un match avec un t-shirt floqué Özil pour lui témoigner son soutien), la crise de résultats et un Mourinho annoncé chaque jour de plus en plus partant, le cas Özil risque de prendre de l’ampleur.
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