Le Comité de lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles (CLVF) « dénonce et condamne vigoureusement » les viols commis sur des fillettes notamment celui survenu dernièrement à Diamaguène, où une petite de 3 ans a été violée par un individu non encore identifié.
Le CLVF invite l’Etat à prendre des « mesures fortes pour la protection des enfants qui sont aujourd’hui dans une situation d’extrême vulnérabilité, avec la fréquence de ces actes ignobles commis à leur encontre et qui peuvent même être associés à un crime ».
Déplorant la récurrence de ces actes ignobles, le CLVF « demande la condamnation ferme des auteurs, conformément à la loi qui n’admet aucun sursis ni circonstances atténuantes dans ces situations de violences sexuelles sur mineures de moins de 13 ans ».
Par ailleurs, « le CLVF en appelle aux populations à faire montre de patriotisme pour la dénonciation et le témoignage et aux familles touchées à se référer à la justice pour ces actes qui en aucun cas, ne peuvent être passés sous silence ».
Le CLVF invite l’Etat à prendre des « mesures fortes pour la protection des enfants qui sont aujourd’hui dans une situation d’extrême vulnérabilité, avec la fréquence de ces actes ignobles commis à leur encontre et qui peuvent même être associés à un crime ».
Déplorant la récurrence de ces actes ignobles, le CLVF « demande la condamnation ferme des auteurs, conformément à la loi qui n’admet aucun sursis ni circonstances atténuantes dans ces situations de violences sexuelles sur mineures de moins de 13 ans ».
Par ailleurs, « le CLVF en appelle aux populations à faire montre de patriotisme pour la dénonciation et le témoignage et aux familles touchées à se référer à la justice pour ces actes qui en aucun cas, ne peuvent être passés sous silence ».