Le Sénégal ne peut se développer sans les Technologies de l’information et de la communication. L’évolution de ce secteur a un impact économique dans tous les secteurs d’activités. Le Cabinet Deloitte Sénégal a livré les résultats de leurs travaux réalisés à partir d’échanges et des interviews qu’il a effectué sur les clients des différents opérateurs. « L’objectif de cette étude est d’apporter des éclairages sur les neuf principales tendances qui vont impacter ces secteurs d’activités dans les 12 et 18 mois prochains », a annoncé Karim Koundi, Associé responsable Tmt pour Deloitte Afrique Francophone, pour qui les études ont montré que le Sénégal est un pays de service. « Nous nous dirigeons vers une nouvelle révolution digitale axée sur l’intégration des infrastructures des Tic, de transport et de l’énergie », a-t-il dit ajoutant que le monde va vers une économie de partage où on est producteur et en même temps consommateur. Mais, selon M. Koundi, « cela doit passer par un redéploiement progressif de la connectivité dans tous les secteurs. Il y a aussi la généralisation du haut débit dans tout le Sénégal qui est un enjeu national. Il faut que le haut débit soit au service de base de notre développement, qu’il soit aussi accessible dans tous les foyers et entreprises ». D’ailleurs, soutient-il, « on est dans une logique d’optimisation des ressources. Il y a plusieurs projets qui commencent à voir le jour notamment dans l’optimisation de la consommation électrique en période de pic où l’usage des transports sont optimisés grâce aux objets connectés ».
Le trafic d’internet va augmenter de 7% dans les années à venir. Mais, le problème d’énergie et la connectivité va constituer un frein au développement. Pour ce, les panelistes pensent qu’il faut une volonté politique de la part de l’Etat pour réduire le fossé de la connectivité entre les pays littéraux. « Cela passera par le développement des Backbones nationaux de fibres optiques en Afrique », estime le responsable de Tigo qui invite l’Etat à réguler le secteur, parce qu’il y a des Ott qui envahissent le secteur. Mieux, soutient-il, l’Etat doit accélérer les réforme pour permettre aux opérateurs d’obtenir la 4G afin d’avoir l’internet haut débit partout au Sénégal. Il faut que le haut débit soit au service de base de notre développement, qu’il soit aussi accessible dans tous les foyers et entreprises. Voir comment le public et le privé peuvent mettre ensemble leur stratégie de télécommunication pour atteindre l’objectif national.
Le trafic d’internet va augmenter de 7% dans les années à venir. Mais, le problème d’énergie et la connectivité va constituer un frein au développement. Pour ce, les panelistes pensent qu’il faut une volonté politique de la part de l’Etat pour réduire le fossé de la connectivité entre les pays littéraux. « Cela passera par le développement des Backbones nationaux de fibres optiques en Afrique », estime le responsable de Tigo qui invite l’Etat à réguler le secteur, parce qu’il y a des Ott qui envahissent le secteur. Mieux, soutient-il, l’Etat doit accélérer les réforme pour permettre aux opérateurs d’obtenir la 4G afin d’avoir l’internet haut débit partout au Sénégal. Il faut que le haut débit soit au service de base de notre développement, qu’il soit aussi accessible dans tous les foyers et entreprises. Voir comment le public et le privé peuvent mettre ensemble leur stratégie de télécommunication pour atteindre l’objectif national.