"Nous demandons la tenue du référendum au plus tard dans le dernier trimestre de l’année 2015 pour asseoir une meilleure équité entre les partis. Nous demandons solennellement au gouvernement de tout mettre en ouvre pour que ce référendum se tienne au courant de l’année 2015 et non en mai 2016, comme annoncé par le Président Macky Sall", lance le porte-parole adjoint du Ps, Me Moussa Bocar Thiam. Pour l’avocat, "si le référendum devrait se tenir en mai 2016, puis la Présidentielle en 2017, cela peut créer un déséquilibre entre les candidats". Même son de cloche chez Abdoulaye Wilane pour qui "organiser le référendum en 2015 permettra à tout le monde d’avoir des coudées franches ». Poursuivant son argumentaire, le porte-parole du Ps rappelle que "tous les partis préparent chaque jour les élections ».
Les camarades d’Ousmane Tanor Dieng estiment également que la question du référendum met le pays dans une campagne électorale permanent. "C’est pour que cette question qui pollue l’atmosphère puisse être définitivement tranchée afin que les Sénégalais soient édifiés s’il y aura élection ou non », argue Me Moussa Bocar Thiam. Plus précis, Abdoulaye Wilane avance que "presque 90% des cartes d’identité nationales arrivent à expiration en 2016. Ou bien, on produit de nouvelles cartes (pour le référendum), ou bien, il y aura une loi qui proroge la durée de validité de ces cartes".
Les camarades d’Ousmane Tanor Dieng estiment également que la question du référendum met le pays dans une campagne électorale permanent. "C’est pour que cette question qui pollue l’atmosphère puisse être définitivement tranchée afin que les Sénégalais soient édifiés s’il y aura élection ou non », argue Me Moussa Bocar Thiam. Plus précis, Abdoulaye Wilane avance que "presque 90% des cartes d’identité nationales arrivent à expiration en 2016. Ou bien, on produit de nouvelles cartes (pour le référendum), ou bien, il y aura une loi qui proroge la durée de validité de ces cartes".