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Rénovation du stade Maniang Soumaré de Thiès : El Malick Seck accuse un greffier de sabotage…

Le projet entamé par El Malick Seck « Thiès Champions League » à Thiès semble ne pas enchanter tout le monde. En effet, c’est en marge d’une conférence de presse dans cette localité qu’El Malick a dénoncé un certain sabotage du projet. « Un greffier qui s’occupe de football, est entrain de saboter mes projets : « Thiès Champions League », gazonnage des stades de la cité du Rail » a dénoncé El Malick. Dans cette affaire il affirme que le président de l’Organisme départemental de coordination des activités de vacances (Odecav) de Thiès, Ousmane Diop, a même été interpelé et déféré au parquet pour, selon Malick, « un problème qui nous lie au service d’hygiène. Dans ce dit problème, il était question d’engrais que nous avons mis sur le sol du stade Maniang Soumaré et qui était issu de fosses septiques. De l’engrais pourtant déjà traité qu’utilisent traditionnellement les jardiniers pour enrichir le sol » déclare-t-il


Rédigé par leral.net le Jeudi 9 Juillet 2015 à 18:53 | | 0 commentaire(s)|

A l’en croire le travailleurs qui s’occupent de ces terres avaient été convoqués suite à, une dénonciation « fallacieuse et calomnieuse de ce greffier qui s’occupe de football dans la cité du rail. Il est allé dire que nous n’avons pas d’eaux au stade Maniang Soumaré, que nous utilisons de l’engrais chimique, ce qui n’est en aucun cas un problème ». Selon El Malick il a été indiqué aux gens chargés des travaux au niveau dudit stade, convoqués au service d’hygiène, qu’il y avait une « infraction par rapport au code de l’environnement ». Ce qui, selon lui est totalement faux. « C’est leur interprétation des textes. Le stade a été officiellement fermé par le maire de Thiès, Talla Sylla, depuis le 05 mai. Il y a un arrêté de fermeture qui autorise le démarrage des travaux qui est une donation que je fais entièrement de mon argent à la commune de Thiès » a-t-il justifié.Il a rappelé par ailleurs que « ce greffier avait, auparavant, fait des sorties médiatique pour dire que les travaux ne démarreraient pas. Il est passé à côté. Il avait dit que ça ne marchera pas. Aujourd’hui le Champ de course est à 70% d’achèvement. Presque à la phase terminale. Le stade Maniang Soumaré sera prêt d’ici octobre » annonce-t-il. « On va investir 40 ou 50 millions sur ce terrain, conformément à nos engagements politiques. Ils ne m’empêcheront pas de faire ce terrain. Maintenant, nous avons avalé assez de couleuvres. Nous ne sommes pas des voyous, nous ne sommes pas des délinquants. Nous des citoyens honnêtes et honorables. Il faut donc qu’on nous respecte » peste-t-il.
El Malick a indiqué aussi que le greffier en question avait, par ailleurs, déposé une plainte à l’Office nationale de lutte contre la corruption (OFNAC), « Il avait dit que la mairie de Thiès nous a payé de l’argent, qu’on a été corrompu pour faire ces travaux. Les résultats de l’enquête ont heureusement fait état d’une dénonciation calomnieuse. On ne laissera pas impuni cet acte, parce que c’est une accusation extrêmement grave. Les mairies n’ont mis le moindre centime dans ces projets. Nous, nous sommes là pour aider les populations et rien d’autre. Nous connaissons la personne qui les manipule. Mais qu’elle le veuille ou pas, qu’il pleuve ou qu’il neige, dans trois à quatre mois, Inshallah, les jeunes joueront au foot sur le terrain, parce que nous ne faisons rien d’illégal » a-t-il prévenu.

Avec Thiès info

Qui en veut à El Malick ?



Pourquoi lui vouloir tant de mal ? Pourquoi lui mettre des bâtons dans les roues ? Mais l’homme a toujours su déjouer les attaques de ses « ennemis ». Parce qu’il veut « CHANGER », encore « CHANGER », toujours « CHANGER ». En réalité, il ne se définit pas comme un politicien, mais un homme d’action. Thiès, sa ville n’a pas changé depuis presque 60 ans. Pas de développement. Pas de politique sportive, culturelle, etc. l’homme veut s’acquitter de ce « CHANGEMENT » comme d’un sacerdoce chez lui. Avec un programme très ambitieux d’un investissement de 200 milliards qui englobe tous les volets de la vie communale, particulièrement celui économique. Il pense à l’habitat social, une zone franche industrielle. Voudrait-il faire de Thiès une ville métropole ? Une cité qui n’a plus le droit de rester en rade. Mais qui doit être économiquement développée. Où les gens travaillent, se soignent, sont transportés dans d’excellentes conditions et circulent dans des endroits et des rues propres. El Malick Seck, du moment que c’est de lui qu’il s’agit, a-t-il le tort d’avoir cette admirable motivation. Il est victime des méchantes langues. Avec une méchante envie de l’abattre. Une méchanceté sans limites. L’heure est grave !!! Extrêmement grave par rapport à des projets qu’El a entamé dans sa ville : « Thiès Champions League ». Acceptera-t-il de laisser les « MECHANTS » torpiller ce projet pour leur simple plaisir. Au nom de quoi. « d’une prétendue loi qui n’existe que dans leur tête », dit El Malick qui tient à informer l’opinion pour que demain, « s’il y a des manquements, qu’on sache qu’on avait averti ». El Malick Séck, face à la presse, de pointer du doigt « un greffier qui s’occupe de football, qui est entrain de saboter mes projets : « Thiès Champions League », gazonnage des stades de la cité du Rail ». Une affaire dans laquelle le président de l’Organisme départemental de coordination des activités de vacances (Odecav) de Thiès, Ousmane Diop, a même été interpelé et déféré au parquet pour, selon Malick, « un problème qui nous lie au service d’hygiène. Dans ce dit problème, il était question d’engrais que nous avons mis sur le sol du stade Maniang Soumaré et qui était issu de fosses sceptiques. De l’engrais pourtant déjà traité qu’utilisent traditionnellement les jardiniers pour enrichir le sol ». Les travailleurs qui s’occupent de ces terres avaient été convoqués suite à, dira El Malick, « une dénonciation fallacieuse et calomnieuse de ce greffier qui s’occupe de football dans la cité du rail. Il est allé dire que nous n’avons pas d’eaux au stade Maniang Soumaré, que nous utilisons de l’engrais chimique, ce qui n’est en aucun cas un problème ». Aux gens chargés des travaux au niveau dudit stade, convoqués au service d’hygiène, il leur sera indiqué qu’il y avait une « infraction par rapport au code de l’environnement ». Ce qui, aux yeux d’El, « est totalement faux. Parce que c’est leur interprétation des textes. Le stade a été officiellement fermé par le maire de Thiès, Talla Sylla, depuis le 05 mai. Il y a un arrêté de fermeture qui autorise le démarrage des travaux qui est une donation que je fais entièrement de mon argent à la commune de Thiès ».
Peut-on faire du gazon sans enrichir le sol avec du terreau ? Que veulent les détracteurs d’El ? Que cherchent-ils ? Pourquoi tant d’acharnement ? De méchanceté ? D’animosité ? D’agressivité ? De rancune ? D’antipathie ? Pourquoi ??? Seulement, Malick se veut catégorique : « ce greffier avait, auparavant, fait des sorties médiatique pour dire que les travaux ne démarreraient pas. Il est passé à coté. Il avait dit que ça ne marchera pas. Aujourd’hui le Champ de course est à 70% d’achèvement. Presque à la phase terminale. Le stade Maniag Soumaré sera prêt d’ici octobre ». Maintenant, poursuit l’illustre fils de Thiès, « pour des raisons qui lui sont personnelles, il a profité de cet engrais pour aller intoxiquer le service d’hygiène. Moi, personnellement, le commandant de ce service régional m’a appelé au bout du fil. Et ça s’est très mal passé. Je lui ai dis que ça soit la dernière fois qu’on m’appelle pour cette affaire. Que je ne suis pas un va-nu-pieds qu’on essaye de trainer dans la boue. J’ai même saisi le maire Talla Sylla pour lui demander de l’interpeller pour qu’il cesse, ce commandant, ses petites querelles de borne fontaine, parce que je ne souhaiterais pas que cette affaire débouche sur un incident. Il n’a aucune autorité juridique pour nous demander d’arrêter les travaux. C’est un abus de pouvoir. Nous, nous connaissons les tenants et les aboutissants de cette affaire. Parce que de fil en aiguille, on a compris que leur motivation était malsaine ».
El Malick sait dire « NON ». Il refuse, aujourd’hui, plus que jamais, que Thiès reste éternellement cette pauvre ville que « certains » veulent toujours prendre pour un foyer de groupes. Une catégorie de groupuscules faisant la promotion de clans, négligeant la cité et méprisant la masse, parce que fonctionnant en marge de la vie et des réalités de la cité du Rail. « On va investir 40 ou 50 millions sur ce terrain, conformément à nos engagements politiques. Ils ne m’empêcheront pas de faire ce terrain. Maintenant, nous avons avalé assez de couleuvres. Nous ne sommes pas des voyous, nous ne sommes pas des délinquants. Nous des citoyens honnêtes et honorables. Il faut donc qu’on nous respecte ». Il a tenu à informer, pour dire aux gens : « nous ne nous laisserons pas faire. Ça fait plus de 50 ans, au niveau de ce stade, personne n’a jamais investi le moindre centime pour faire la pelouse. Aujourd’hui, donc, ces gens feraient mieux de me dire « MERCI ». J’en ai maintenant assez. Et où qu’ils puissent se nicher, ils me trouveront sur le terrain de la résistance, du Refus. Nous avons déjà démarré d’importants travaux là-bas, il y a au moins une vingtaine de jeunes qu’on fait travailler dans cette ville ».
Thiès se doit-elle de refuser d’épauler des hommes plus soucieux de leur aisance, qui ne sont nullement des modèles de droiture, de justice, parce que célèbres pour leur caractère maléfique. Des thuriféraires devant l’éternel. Des frotte-manche qui ne comprennent pas encore qu’El Malick Seck sait s’arc-bouter sur ses principes : « Les travaux se déroulent normalement. Et j’ai vigoureusement dit au commandant du service d’hygiène que s’il entre dans ce stade, il marcherait sur mon cadavre, parce qu’il en a aucune prérogative. Pourquoi interpelle-t-on le président de l’ODCAV qui n’a rien à voir dans cette affaire, même s’il est un partenaire dans ce projet ». Malick d’indiquer que le greffier en question avait, par ailleurs, déposé une plainte à l’Office nationale de lutte contre la corruption (OFNAC), pour dire que « la mairie de Thiès nous a payé de l’argent, qu’on a été corrompu pour faire ces travaux. Les résultats de l’enquête ont heureusement fait état d’une dénonciation calomnieuse. On ne laissera pas impuni cet acte, parce que c’est une accusation extrêmement grave. Les mairies n’ont mis le moindre centime dans ces projets. Nous, nous sommes là pour aider les populations et rien d’autre. Nous connaissons la personne qui les manipule. Mais qu’elle le veuille ou pas, qu’il pleuve ou qu’il neige, dans trois à quatre mois, Inshallah, les jeunes joueront au foot sur le terrain, parce que nous ne faisons rien d’illégal ».
Thiès est consciente de son devenir. Elle sait qu’EL est sérieux et conscient du devenir de la cité, et ne badine pas avec la grande chose qu’est sa ville natale. A travers ses projets, l’on peut aisément se faire une idée de l’ambition l’homme, celui-là qui fait aujourd’hui la fierté de son Cayor. Malick est incontestablement ce fils de du Cayor loin d’être ce « mystificateur », cet « arnaqueur » au passé douteux et truffé de sottises, à la quête d’un statut social via la politique et qui n’a aucune ambition pour les honnêtes citoyens. Son souci n’est pas de s’enrichir par le foncier, les marchés de gré à gré et le trafic d’influence. L’Homme ambitionne indubitablement de transformer qualitativement et quantitativement sa ville. La cohérence entre le verbe et l’action, El Malick Seck, qui invite à faire de l’éthique une valeur phare de la cité, semble prendre de la hauteur pour ne viser que l’intérêt de Thiès et des thiessois. Avec comme seule conviction de bâtir et de faire rayonner sa Thiès natale dans le Sénégal.
Cheikh CAMARA thiesinfos.com

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