« Concernant cette affaire de sucre supposé avoir été contaminé ou empoisonné et qui concernerait une cinquantaine de tonnes, qui aurait été introduit sur le marché sénégalais, je voudrais vous dire et vous réaffirmer que cette information est fausse et dénuée de tout fondement », a démenti catégoriquement Omar Diallo, Directeur du Commerce intérieur.
Il explique que l’importation du sucre obéit à une procédure bien précise, notamment en ce qui concerne le contrôle de la qualité à l’importation.
« Des échantillons sont prélevés aux fins d’analyse de laboratoire pour déterminer la qualité microbiologique et chimique du produit. Une fois que le laboratoire aura décidé que ce produit est apte à la consommation humaine, nous, nous délivrons derrière l’autorisation de mise à la consommation », explique-t-il.
De plus, souligne Oumar Diallo, les importateurs de sucre, au Sénégal, ne sont pas nombreux. Il s’agit d’une dizaine. Et à chaque fois qu’un sac de sucre est importé au Sénégal, ses services en font le contrôle de la qualité et en déterminent la destination.
« C’est des fake-news. Aujourd’hui, je suis à même de vous dire que nous avons pris toutes les dispositions pour qu’il n’en soit pas ainsi. D’ailleurs, c’est inimaginable à l’état actuel de l’exécution de la procédure d’importation des produits alimentaires », a conclu le directeur du Commerce intérieur.
Le Témoin
Il explique que l’importation du sucre obéit à une procédure bien précise, notamment en ce qui concerne le contrôle de la qualité à l’importation.
« Des échantillons sont prélevés aux fins d’analyse de laboratoire pour déterminer la qualité microbiologique et chimique du produit. Une fois que le laboratoire aura décidé que ce produit est apte à la consommation humaine, nous, nous délivrons derrière l’autorisation de mise à la consommation », explique-t-il.
De plus, souligne Oumar Diallo, les importateurs de sucre, au Sénégal, ne sont pas nombreux. Il s’agit d’une dizaine. Et à chaque fois qu’un sac de sucre est importé au Sénégal, ses services en font le contrôle de la qualité et en déterminent la destination.
« C’est des fake-news. Aujourd’hui, je suis à même de vous dire que nous avons pris toutes les dispositions pour qu’il n’en soit pas ainsi. D’ailleurs, c’est inimaginable à l’état actuel de l’exécution de la procédure d’importation des produits alimentaires », a conclu le directeur du Commerce intérieur.
Le Témoin