‘’L’OMVS est un outil d’intégration qui nous est envié à travers l’Afrique’’, a-t-il dit, au cours de l’inauguration du Centre de documentation et des archives (CDA) rénové grâce à l’appui de la Banque mondiale (BM), à hauteur de 600 millions de francs CFA.
Le ministre sénégalais, qui est également le président en exercice du conseil d’administration de l’OMVS, est largement revenu sur les différents domaines dans lesquels intervient cet organisme d’intégration pour le Mali, la Mauritanie et le Sénégal.
Il a cité notamment l’électricité avec le barrage de Manantali au Mali, ouvrant des perspectives d’un allégement des coûts de l’énergie pour les pays membres. S’y ajoutent les aménagements hydro-agricoles avec le barrage de Diama au Sénégal.
La navigabilité du fleuve Sénégal est un autre chantier sur lequel travaille l’OMVS pour permettre aux bateaux de faire des transactions commerciales du Sénégal au Mali.
L’OMVS offre également des possibilités d’aménagement concernant 300.000 hectares de terres dont 240.000 au Sénégal, a dit Oumar Guèye qui a en outre souligné le volet environnemental et la lutte contre le paludisme dans les offres de l’organisme d’intégration.
Parlant du Centre de documentation et des archives, M. Guèye a estime que cet espace venait compléter le dispositif de l’OMVS en permettant de connaître ce qui se fait et de mener des prospectives.
Pour sa part, le ministre sénégalais de la Communication, Cheikh Bamba Dièye, a pris part à la cérémonie en sa qualité de maire de Saint-Louis, ville qui abrite le CDA. Il s’est félicité de la réhabilitation de ce bâtiment qui lui rappelle des souvenirs de son enfance.
‘’Enormément de choses me rattachent à ce bâtiment, à l’OMVS’’, a dit M. Dièye se rappelant les nombreux évènements auxquels il a assisté durant son enfance, sur ce site qui a servi par le passé de gouvernorat de la Mauritanie.
‘’Ce quartier a connu l’intégration avant l’OMVS’’, a dit le maire insistant également sur le rôle joué par la Mauritanie dans la construction de la ville de Saint-Louis, son ancienne capitale avant la création de Nouakchott.
APS
Le ministre sénégalais, qui est également le président en exercice du conseil d’administration de l’OMVS, est largement revenu sur les différents domaines dans lesquels intervient cet organisme d’intégration pour le Mali, la Mauritanie et le Sénégal.
Il a cité notamment l’électricité avec le barrage de Manantali au Mali, ouvrant des perspectives d’un allégement des coûts de l’énergie pour les pays membres. S’y ajoutent les aménagements hydro-agricoles avec le barrage de Diama au Sénégal.
La navigabilité du fleuve Sénégal est un autre chantier sur lequel travaille l’OMVS pour permettre aux bateaux de faire des transactions commerciales du Sénégal au Mali.
L’OMVS offre également des possibilités d’aménagement concernant 300.000 hectares de terres dont 240.000 au Sénégal, a dit Oumar Guèye qui a en outre souligné le volet environnemental et la lutte contre le paludisme dans les offres de l’organisme d’intégration.
Parlant du Centre de documentation et des archives, M. Guèye a estime que cet espace venait compléter le dispositif de l’OMVS en permettant de connaître ce qui se fait et de mener des prospectives.
Pour sa part, le ministre sénégalais de la Communication, Cheikh Bamba Dièye, a pris part à la cérémonie en sa qualité de maire de Saint-Louis, ville qui abrite le CDA. Il s’est félicité de la réhabilitation de ce bâtiment qui lui rappelle des souvenirs de son enfance.
‘’Enormément de choses me rattachent à ce bâtiment, à l’OMVS’’, a dit M. Dièye se rappelant les nombreux évènements auxquels il a assisté durant son enfance, sur ce site qui a servi par le passé de gouvernorat de la Mauritanie.
‘’Ce quartier a connu l’intégration avant l’OMVS’’, a dit le maire insistant également sur le rôle joué par la Mauritanie dans la construction de la ville de Saint-Louis, son ancienne capitale avant la création de Nouakchott.
APS
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