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Serigne Mor Mbaye : « il n’y a plus d’Etat au Sénégal »


Rédigé par leral.net le Mardi 23 Octobre 2012 à 09:14 | | 5 commentaire(s)|

Serigne Mor Mbaye : « il n’y a plus d’Etat au Sénégal »
Le psychologue s’est prononcé sur les manifestations des disciples de Cheikh Bethio Thioune hier. Ces derniers ont quasiment mis la ville de Dakar sens dessus-dessous pour exiger la libération de leur Cheikh, récemment transféré à la prison de Rebeuss. Et cela, sans que les forces de l’ordre n’interviennent. Ce qui fait dire à Serigne Mor Mbaye qu’ « il n’y a plus d’Etat au Sénégal. Il n’y a pas une force organisée qui en réalité distille une justice sociale, distille des perspectives, distille une trajectoire de vie méritoire, distille des modèles, une force qui sécurise. Lorsque l’Etat ne sécurise plus, les gens ne font que ce qu’ils veulent », a-t-il dit dans L’Observateur.



1.Posté par FocusActu le 23/10/2012 09:43 | Alerter
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Bonjour à tous! Votre nouveau site d'information est désormais en ligne: focusactu.com. Bienvenue à tous!

2.Posté par Bounkhatab le 23/10/2012 10:16 | Alerter
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A QUI LA FAUTE?LES POLITICIENS QUI VEULENT LE POUVOIR SANS ETRE DES HOMMES D'ETAT CAPABLE DE SE SALIR LES MAINS QUAND LA NATION EST EN PERIL? LES JOURNALISTES QUI NE SE SPECIALISENT PAS ET QUI RACONTENT DU N'IMPORTE QUOI POUR VENDRE?LES MARABOUTS QUI SE CONTENTENT DE LEUR TITRE SANS DELIVRER DE MESSAGES POSITIFS? LES FONCTIONNAIRES , LES ETUDIANTS ET LES JEUNES QUI AIMENT LA FACILITE, LES FORCES DE L'ORDRE MAL ENTRENUES, NON RESPECTEES ET CORROMPUES? OUI ! A QUI LA FAUTE ,?DITES MOI.

3.Posté par Agir le 23/10/2012 10:47 | Alerter
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Sauvons nos universités publiques du naufrage.

Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l’enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l’UNESCO. Nos instituions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques!) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.

Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s’évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d’existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l’inaction de l’État.

En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.

A l’État de faire l’état de la gestion de ceux qu’il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.

L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d’enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.

Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je propose des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d’être juge et parti.

Il n’est jamais trop tard pour bien faire un devoir citoyen.

4.Posté par nina le 23/10/2012 12:11 | Alerter
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il parait que AQMI (alkaida au mali) a déja placé ces éléments au sénégal

5.Posté par papi le 23/10/2012 15:54 | Alerter
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je voit une guerre civile au senegal .... c'est notre tour le senegal serigne cheikh tidiane sy l'avez dit lavons ce pays avec de l'eau ou du feu mais nous approchons toujours du feu boulene deuk - bi on n'a tous des parents au senegal

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