prix du ciment. «La vérité, c’est que nous ne pouvons plus continuer à absorber des taxes sur nos marges. La taxe est répercutée aux consommateurs. Ceci dit, on parle quand même d’une augmentation de 3 F Cfa par kilogramme. Soit, l’équivalent de 300 F Cfa par sac. C’est uniquement pour répercuter la taxe.
L’année dernière, l’Etat avait bloqué les prix, parce qu’il avait lancé une année spéciale dite une année sociale. Aujourd’hui, on est sorti de cette situation et, nous ne pouvons plus continuer à vendre à perte au moment où l’Etat collecte sur nous», a précisé Youga Sow dans un entretien accordé au journal Sud Quotidien.
Les consommateurs, prévient-il, doivent penser aux employés de la Sococim. «Tous ces activistes d’associations des consommateurs doivent aussi, savoir qu’il y a une menace qui pèse sur plus de 2 000 à 3 000 employés qui pourraient être licenciés. Parce qu’on va restructurer l’entreprise. Les gens qui parlent de cette situation devraient plutôt s’intéresser au sort de ces pauvres travailleurs qui pourraient se retrouver dans la rue », invite-t-il.
En attendant, relève-t-il, nous sommes obligés de faire des augmentations qui nous permettent de tenir debout. Puisque, reconnaît-il, nous sommes arrivés à un point de non-retour.
Leral
L’année dernière, l’Etat avait bloqué les prix, parce qu’il avait lancé une année spéciale dite une année sociale. Aujourd’hui, on est sorti de cette situation et, nous ne pouvons plus continuer à vendre à perte au moment où l’Etat collecte sur nous», a précisé Youga Sow dans un entretien accordé au journal Sud Quotidien.
Les consommateurs, prévient-il, doivent penser aux employés de la Sococim. «Tous ces activistes d’associations des consommateurs doivent aussi, savoir qu’il y a une menace qui pèse sur plus de 2 000 à 3 000 employés qui pourraient être licenciés. Parce qu’on va restructurer l’entreprise. Les gens qui parlent de cette situation devraient plutôt s’intéresser au sort de ces pauvres travailleurs qui pourraient se retrouver dans la rue », invite-t-il.
En attendant, relève-t-il, nous sommes obligés de faire des augmentations qui nous permettent de tenir debout. Puisque, reconnaît-il, nous sommes arrivés à un point de non-retour.
Leral