Abdoulaye Wade souffle le chaud et le froid suite à la convocation de son fils Karim Wade. Il vient de se désister concernant son retour au Sénégal, convaincu par le Président ivoirien Alassane Ouattara, mais au même moment, l’ancien chef de l' Etat demande à ses protégés de ne pas déferrer à la convocation du Procureur spécial ou de qui que ce soit dans le cadre de l'enquete sur les biens mal acquis. Ces derniers jours, le Président a procédé à un rappel des troupes pour servir de bouclier à son fils.
Mais, c’est à croire si tous les libéraux vont obéir, aveuglement, à cette injonction de leur leader qui, jusqu’ici, n’avait pas montré autant d’engagement et de fermeté, après les arrestations de leurs camarades qui demeurent encore en prison. Selon des sources, plusieurs membres du Parti démocratique sénégalais s’offusquent du fait que leur responsable veuille mobiliser les partisans libéraux dans l’unique but de tirer sa progéniture d’affaire, alors que ni le Parti ni son secrétaire général n’a pas affiché autant d’engagement pour les autres membres de la formation libérale déjà entre les mains de la justice, ou en proie à la machine judiciaire.
Ainsi, dit-on, des responsables du Pds se sentent aujourd’hui gênés à l'idée de prendre part à une quelconque manifestation visant à ne défendre que des intérêts familiaux. Faudrait-il rappeler que jusqu’ à présent, le Parti n’a entrepris aucune action concrète, encore mois publié un document pour se solidariser avec ses militants. En ce sens, on peut lister Baïla Wane, Ndongo Diaw, Condetto Niang, entre autres.
Toutefois, dans les colonnes du « Quotidien » de ce mercredi, 14 novembre 2012, Souleymane Ndéné Ndiaye a estimé, hier qu'« il ne faut pas mélanger les choses. Karim Wade est le fils d’Abdoulaye Wade, même s’il est le Secrétaire général du Pds. Il faut distinguer Wade, le Sg du parti et Wade, le père de Karim qui doit faire face à la justice ». Même si l’ancien Premier ministre affirme qu’il serait « à la place de Wade », il aurait « pris la même attitude », il ne faudra pas compter sur lui pour accueillir Abdoulaye Wade ou son fils à son arrivée. « De toute façon je n’irai pas à l’aéroport. Ah non, moi je n’irai pas ! », a –t-il précisé. « Un ancien Premier ministre ne peut pas se mettre à marcher ou à manifester », se justifie le dernier chef du gouvernement sous le magistère de Wade.
Rewmi.com
Mais, c’est à croire si tous les libéraux vont obéir, aveuglement, à cette injonction de leur leader qui, jusqu’ici, n’avait pas montré autant d’engagement et de fermeté, après les arrestations de leurs camarades qui demeurent encore en prison. Selon des sources, plusieurs membres du Parti démocratique sénégalais s’offusquent du fait que leur responsable veuille mobiliser les partisans libéraux dans l’unique but de tirer sa progéniture d’affaire, alors que ni le Parti ni son secrétaire général n’a pas affiché autant d’engagement pour les autres membres de la formation libérale déjà entre les mains de la justice, ou en proie à la machine judiciaire.
Ainsi, dit-on, des responsables du Pds se sentent aujourd’hui gênés à l'idée de prendre part à une quelconque manifestation visant à ne défendre que des intérêts familiaux. Faudrait-il rappeler que jusqu’ à présent, le Parti n’a entrepris aucune action concrète, encore mois publié un document pour se solidariser avec ses militants. En ce sens, on peut lister Baïla Wane, Ndongo Diaw, Condetto Niang, entre autres.
Toutefois, dans les colonnes du « Quotidien » de ce mercredi, 14 novembre 2012, Souleymane Ndéné Ndiaye a estimé, hier qu'« il ne faut pas mélanger les choses. Karim Wade est le fils d’Abdoulaye Wade, même s’il est le Secrétaire général du Pds. Il faut distinguer Wade, le Sg du parti et Wade, le père de Karim qui doit faire face à la justice ». Même si l’ancien Premier ministre affirme qu’il serait « à la place de Wade », il aurait « pris la même attitude », il ne faudra pas compter sur lui pour accueillir Abdoulaye Wade ou son fils à son arrivée. « De toute façon je n’irai pas à l’aéroport. Ah non, moi je n’irai pas ! », a –t-il précisé. « Un ancien Premier ministre ne peut pas se mettre à marcher ou à manifester », se justifie le dernier chef du gouvernement sous le magistère de Wade.
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