On en sait un peu plus sur l’individu qui a tenté de s’immoler par le feu hier après-midi devant les grilles du Palais de la République. Il se nomme Cheikh Tidiane Diop et il est né en 1972.
Contrairement à ce qui a été avancé, il était un ancien immigré et non invalide de guerre. L’Observateur raconte qu’il vivait en Italie où il a été employé dans une grande société spécialisée en Energie solaire. C’est lui qui avait électrifié en énergie solaire les deux maisons témoins de la Cité Namora à Tivaouane Peulh. Faisant la navette entre l’Italie et le Sénégal, il a voulu emmener son frère en Europe via les services d’un démarcheur de visa.
Malheureusement, le passeport avec lequel son frère voulait embarquer était un faux. Cheikh Diop fut arrêté pour usage de faux dans un document administratif et placé sous mandat de dépôt à la prison de Rebeuss.
Souffrant de céphalées, il s’est fait administrer au cours de sa détention, une injection à l’infirmerie de l’administration pénitentiaire. Une piqûre qui avait occasionné une gangrène mixte de son avant-bras. Et suite à son hospitalisation à l’hôpital général de Grand Yoff en 2016, son bras droit fut finalement amputé. C’est ainsi qu’il a bénéficié d’une liberté d’office, sur décision du Parquet.
Une fois élargi, Cheikh Diop sollicite les services de Me Assane Dioma Ndiaye pour entamer une procédure judiciaire, afin de réclamer des dommages à l’Etat. Le dossier enrôlé en premier instance ne lui a pas été favorable. Il sera aussi débouté devant la Cour d’appel. Cheikh Diop qui était dans l’attente du jugement de la Cour suprême, a décidé finalement de passer à l’acte, en tentant de s’immoler hier par le feu, hier, devant le Palais présidentiel. Ses jours ne seraient pas en danger, selon des sources médicales.
Cependant, d’après ses proches cités par le journal, Cheikh Diop traverse des moments difficiles depuis l’amputation de sa main. « Il était un soutien de famille et a été arrêté pour les faits dans lesquels il a été une victime. Après avoir déboursé de l’argent pour aider son frère, il a été arrêté et une injection lui a été faite en cours de détention à Rebeuss, il écopera une amputation de sa main droite. Ne serait-ce que pour ça, l’Etat devrait le dédommager. D’ailleurs, un des enfants souffre d’infection pulmonaire et il n’arrive pas à le soigner », confie-t-on.
Contrairement à ce qui a été avancé, il était un ancien immigré et non invalide de guerre. L’Observateur raconte qu’il vivait en Italie où il a été employé dans une grande société spécialisée en Energie solaire. C’est lui qui avait électrifié en énergie solaire les deux maisons témoins de la Cité Namora à Tivaouane Peulh. Faisant la navette entre l’Italie et le Sénégal, il a voulu emmener son frère en Europe via les services d’un démarcheur de visa.
Malheureusement, le passeport avec lequel son frère voulait embarquer était un faux. Cheikh Diop fut arrêté pour usage de faux dans un document administratif et placé sous mandat de dépôt à la prison de Rebeuss.
Souffrant de céphalées, il s’est fait administrer au cours de sa détention, une injection à l’infirmerie de l’administration pénitentiaire. Une piqûre qui avait occasionné une gangrène mixte de son avant-bras. Et suite à son hospitalisation à l’hôpital général de Grand Yoff en 2016, son bras droit fut finalement amputé. C’est ainsi qu’il a bénéficié d’une liberté d’office, sur décision du Parquet.
Une fois élargi, Cheikh Diop sollicite les services de Me Assane Dioma Ndiaye pour entamer une procédure judiciaire, afin de réclamer des dommages à l’Etat. Le dossier enrôlé en premier instance ne lui a pas été favorable. Il sera aussi débouté devant la Cour d’appel. Cheikh Diop qui était dans l’attente du jugement de la Cour suprême, a décidé finalement de passer à l’acte, en tentant de s’immoler hier par le feu, hier, devant le Palais présidentiel. Ses jours ne seraient pas en danger, selon des sources médicales.
Cependant, d’après ses proches cités par le journal, Cheikh Diop traverse des moments difficiles depuis l’amputation de sa main. « Il était un soutien de famille et a été arrêté pour les faits dans lesquels il a été une victime. Après avoir déboursé de l’argent pour aider son frère, il a été arrêté et une injection lui a été faite en cours de détention à Rebeuss, il écopera une amputation de sa main droite. Ne serait-ce que pour ça, l’Etat devrait le dédommager. D’ailleurs, un des enfants souffre d’infection pulmonaire et il n’arrive pas à le soigner », confie-t-on.
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