‘’Si on parle de la caféine contenu là-dedans, il n’y a pas de problème, mais les substances qui y sont ajoutées, notamment le +diar+ (poivre de Selim concassé) et le +xorom polé+ (clou de girofle) sont utilisées dans la pharmacopée sénégalaise pour des effets stimulants sur certaines affections de la personne comme la toux, les maux de gorge, etc.’’ a expliqué Pr. Diop.
Il présidait une rencontre scientifique sur le café où plusieurs thèmes étaient abordés, notamment : ‘’Aspects pharmacologiques du café’’, ‘’Café et maladies cardiovasculaires’’, ‘’Café et maladies métaboliques’’ et ‘’Café et maladies digestives’’.
‘’Ignite’’ mène une campagne visant à combattre les idées reçues en matière médicale sur le café et mettre à la disposition des professionnels de la santé et des étudiants en médecine, les informations et rapports d’études scientifiques relatifs au café et à la santé.
D’après le président du comité scientifique de ‘’Ignite’’, il serait intéressant que des études soit mené sur le café-Touba qui est fait à base de grains de café, mais qui, pour être aromatisé, se fait ajouter ces substances locales pour lui donner le goût particulier qu’il a.
Selon lui, il n’y a pas eu d’études spécifiques permettant de dire quel est l’effet positif ou négatif de ces substances qui sont ajoutées au café, mais de par le mode de mode de préparation du café-Touba on peut s’interroger sur ses bienfaits.
En effet, le professeur Diop a fait savoir que les études montrent que les substances néfastes du café augmentent selon le mode de préparation. A l’en croire, quand on fait bouillir le café uniquement, on garde toutes ces substances néfastes.
Ce qui est inquiétant dans la prise du café-Touba, c’est que c’est un café complètement bouilli et les ‘’diterpènes’’ qui sont néfastes et contenus dedans pourraient poser des problèmes aux consommateurs.
‘’Le café bouilli contient plus de substances néfastes que le café moulu’’, a-t-il prévenu indiquant que le café-Touba est un phénomène nouveau et qu’il serait bon de commanditer une étude sociologique à son sujet pour en savoir davantage.
‘’Il faut mener des études pour savoir ce qu’il en est exactement parce que les études que nous livrons par rapport au café, sont le fruit de plus de 10 voire 15 ans de recherches’’, a signalé le professeur Saïd Nourou Diop, soulignant qu’il n’arrive pas, lui même, à résister à l’arome ’’particulier’’ du café-Touba.
P.-S.
LTF/SAB
Il présidait une rencontre scientifique sur le café où plusieurs thèmes étaient abordés, notamment : ‘’Aspects pharmacologiques du café’’, ‘’Café et maladies cardiovasculaires’’, ‘’Café et maladies métaboliques’’ et ‘’Café et maladies digestives’’.
‘’Ignite’’ mène une campagne visant à combattre les idées reçues en matière médicale sur le café et mettre à la disposition des professionnels de la santé et des étudiants en médecine, les informations et rapports d’études scientifiques relatifs au café et à la santé.
D’après le président du comité scientifique de ‘’Ignite’’, il serait intéressant que des études soit mené sur le café-Touba qui est fait à base de grains de café, mais qui, pour être aromatisé, se fait ajouter ces substances locales pour lui donner le goût particulier qu’il a.
Selon lui, il n’y a pas eu d’études spécifiques permettant de dire quel est l’effet positif ou négatif de ces substances qui sont ajoutées au café, mais de par le mode de mode de préparation du café-Touba on peut s’interroger sur ses bienfaits.
En effet, le professeur Diop a fait savoir que les études montrent que les substances néfastes du café augmentent selon le mode de préparation. A l’en croire, quand on fait bouillir le café uniquement, on garde toutes ces substances néfastes.
Ce qui est inquiétant dans la prise du café-Touba, c’est que c’est un café complètement bouilli et les ‘’diterpènes’’ qui sont néfastes et contenus dedans pourraient poser des problèmes aux consommateurs.
‘’Le café bouilli contient plus de substances néfastes que le café moulu’’, a-t-il prévenu indiquant que le café-Touba est un phénomène nouveau et qu’il serait bon de commanditer une étude sociologique à son sujet pour en savoir davantage.
‘’Il faut mener des études pour savoir ce qu’il en est exactement parce que les études que nous livrons par rapport au café, sont le fruit de plus de 10 voire 15 ans de recherches’’, a signalé le professeur Saïd Nourou Diop, soulignant qu’il n’arrive pas, lui même, à résister à l’arome ’’particulier’’ du café-Touba.
P.-S.
LTF/SAB