La pêche reste l’activité dominante du village de Cayar, autrefois, circonscrit dans la communauté rurale de Diender, composée à l’époque de 24 villages. Quelques années après l’alternance de 2012, ce village de pêcheur lébou est détaché de Diender pour être érigé en Commune. Ses occupants sont écartelés entre la pêche et l’agriculture, comme l’indique son nom “Kaye-Yaar”.
Géographique, le village de Cayar s’installe sur une zone sablonneuse, entre la mer et les dunes de sables qui le séparent du village Lébou de “Thieudème”. Retracant les limites géographiques, l’historien, Assane Niang a bien indiqué que la zone Lébou se limite à Mbidieum, situé à quelques kilomètres de Cayar, après “Thieudème”.
Ainsi, à force de constater une activité intense de pêche, les autocthones ont connu des difficultés, liées à plusieurs facteurs, dont la mauvaise pratique, érigée en règle par des inconscients qui pillent les ressources halieutiques.
D'après Assane Niang, malgré ce désordre, Cayar, situé dans une cuve d'eau propice à la fécondation reste un nid de poissons. Présentement, dit-il, plusieurs ethnies composent ce village. Beaucoup d'entre eux, insiste-t-il, sont devenus avec le temps, des pêcheurs.
La pêche cohabite avec d’autres actvités parallèles, menées en mains de maître par des femmes transformatrices très dégourdies et déterminées. Ces dernières, accrochées disent produire tous genres de poissons séchés ou secs. Mais, la Covid a impacté l'activité.
Leur unique regret reste que le poisson coûte cher. Ce faisant, le prix des produits suivent le rythme. L'arrivée de la pandémie de Covid ayant entraîné des changements, les pêcheurs sont obligés de suivre un calendrier pour aller en mer.
Ailleurs, ces pêcheurs, voyant une baisse de leurs chiffres d’affaires, se plaignent de la cherté des intrants, dont l'essentiel et le gazoil. Malgré tout, ils apprécient la mesure, consistant à rester les dimanches à la maison pour faciliter une régénération des poisons et remettre de l’ordre au Quai de pêche. Et, une bonne partie d'entre eux, considère les prix de vente des poissons baissent de manière drastique, mais, la demande est supérieure à l'offre.
Suite à cette Remarque, les pêcheurs et marayeurs de Cayar relèvent, un manque de logistique de transport et des unités de fabriques de glaces, constituent un blocage ou frein à leurs activités de pêche et de revente.
Chargés de transporter le poisson vers l’intérieur du pays, les marayeurs, non contents des exigences de leur métier, ils déplorent le renouvellement annuel de la carte professionnel d'un montant de 30 000 FCfa. Vivant les difficultés de la pêche, ils réclament l'appui des autorités étatiques pour résister aux dures réalités de la vie.
Etant en début de campagne, ils espèrent beaucoup plus après le magal de Touba. N'empêche, les gestionnaires du Quai de pêche de Cayar, travaillant de manière bénévole, non payés, reclament des changements.
Géographique, le village de Cayar s’installe sur une zone sablonneuse, entre la mer et les dunes de sables qui le séparent du village Lébou de “Thieudème”. Retracant les limites géographiques, l’historien, Assane Niang a bien indiqué que la zone Lébou se limite à Mbidieum, situé à quelques kilomètres de Cayar, après “Thieudème”.
Ainsi, à force de constater une activité intense de pêche, les autocthones ont connu des difficultés, liées à plusieurs facteurs, dont la mauvaise pratique, érigée en règle par des inconscients qui pillent les ressources halieutiques.
D'après Assane Niang, malgré ce désordre, Cayar, situé dans une cuve d'eau propice à la fécondation reste un nid de poissons. Présentement, dit-il, plusieurs ethnies composent ce village. Beaucoup d'entre eux, insiste-t-il, sont devenus avec le temps, des pêcheurs.
La pêche cohabite avec d’autres actvités parallèles, menées en mains de maître par des femmes transformatrices très dégourdies et déterminées. Ces dernières, accrochées disent produire tous genres de poissons séchés ou secs. Mais, la Covid a impacté l'activité.
Leur unique regret reste que le poisson coûte cher. Ce faisant, le prix des produits suivent le rythme. L'arrivée de la pandémie de Covid ayant entraîné des changements, les pêcheurs sont obligés de suivre un calendrier pour aller en mer.
Ailleurs, ces pêcheurs, voyant une baisse de leurs chiffres d’affaires, se plaignent de la cherté des intrants, dont l'essentiel et le gazoil. Malgré tout, ils apprécient la mesure, consistant à rester les dimanches à la maison pour faciliter une régénération des poisons et remettre de l’ordre au Quai de pêche. Et, une bonne partie d'entre eux, considère les prix de vente des poissons baissent de manière drastique, mais, la demande est supérieure à l'offre.
Suite à cette Remarque, les pêcheurs et marayeurs de Cayar relèvent, un manque de logistique de transport et des unités de fabriques de glaces, constituent un blocage ou frein à leurs activités de pêche et de revente.
Chargés de transporter le poisson vers l’intérieur du pays, les marayeurs, non contents des exigences de leur métier, ils déplorent le renouvellement annuel de la carte professionnel d'un montant de 30 000 FCfa. Vivant les difficultés de la pêche, ils réclament l'appui des autorités étatiques pour résister aux dures réalités de la vie.
Etant en début de campagne, ils espèrent beaucoup plus après le magal de Touba. N'empêche, les gestionnaires du Quai de pêche de Cayar, travaillant de manière bénévole, non payés, reclament des changements.