D’après Iran, ces dépendants sont des sans vergones. Conscient de cette inscience, Iran Ndao, reste d’avis qu’accepté cette facon de vivre, serait assimilable à de la honte, à une vie de misérable. C’est comme si, ces personnes, adeptes de la facilité, acceptent que leurs mamans étaient des moins que rien ou des femmes qui n’ont pas servi dans leurs vies de couples.
Ainsi, le prêcheur a brandi fièrement ses multiples frigos à glace pour montrer le chemin honorable à ces gus, volontairement, dépendant. Iran Ndao, très courageux dans ses positions, précise qu’il n’a jamais tendu ses mains à personne pour demander n’importe quoi. Comptant sur le travail, il matraque ceux qui vivent de cette forme de subordination insipide, fade et sans avenir.
Iran Ndao revient sur ses propos d’autrefois, très mal pris par certains. Il avait dit qu’il ne dépend de personne pour vivre.
Ainsi, le prêcheur a brandi fièrement ses multiples frigos à glace pour montrer le chemin honorable à ces gus, volontairement, dépendant. Iran Ndao, très courageux dans ses positions, précise qu’il n’a jamais tendu ses mains à personne pour demander n’importe quoi. Comptant sur le travail, il matraque ceux qui vivent de cette forme de subordination insipide, fade et sans avenir.
Iran Ndao revient sur ses propos d’autrefois, très mal pris par certains. Il avait dit qu’il ne dépend de personne pour vivre.