Au cours des discussions, informent nos confrères, si unanimement les compatriotes ont salué la bienveillance des autorités du Congo à leur endroit, beaucoup d’entre eux disent subir encore les effets de ce qu’il est convenu d’appeler « l’affaire Y en a marre » qui s’est passée en République démocratique du Congo (Rdc) voisine (L'arrestation de trois des membres du mouvement par les autorités de la Rdc pour tentative de subversion). Si les compatriotes sénégalais parlent des contrecoups de cette affaire, c’est parce que des goorgoorlus émigrés en Rdc étaient présents à cette rencontre et ont pris la parole pour expliquer qu’ils sont bloqués à Brazzaville à cause de cette affaire « Y en a marre », la Rdc ne délivrant plus de visa aux Sénégalais. Et, ces émigrés, qui ont déploré cet état de fait, étaient sortis de la Rdc pour venir soit au Sénégal soit au Congo.
En effet, Le Pop rapportent qu'on a refusé le sésame à certains dont le visa avait expiré et à d’autres qui avaient renouvelé le passeport. Conséquence : ils sont bloqués à Brazzaville. Raison pour laquelle, ils interpellent les autorités sénégalaises pour qu’elles envoient une délégation auprès du Président Kabila afin de lever les équivoques d’autant plus, disent-ils, qu’il règne une atmosphère de suspicion, de méfiance ambiante qui frappe les Sénégalais dans ce pays où les premiers goorgoorlus émigrés sont arrivés bien avant les indépendances et où ils n’avaient jamais eu de problèmes auparavant. Ces émigrés qui ont pris la parole, lors de cette rencontre, veulent que les autorités sénégalaises expliquent à leurs homologues de la Rdc que « Y en a marre » ne représente pas le peuple sénégalais et que tous les Sénégalais ne sont pas des subversifs. Ils estiment donc que, si l’Etat a pu déployer tant d’efforts pour tirer d’affaire les responsables de « Y en a marre », dont ils disent que la démarche ne milite pas en faveur des intérêts des compatriotes en Rdc, il doit pouvoir intervenir en faveur des émigrés laborieux.
A noter que la Première Dame, Marième Faye Sall, n’a pas pris la parole au cours de la rencontre. C'est le président du groupe parlementaire de la majorité, Moustapha Diakhaté, qui s'est exprimé en son nom. Il a promis que les doléances de nos compatriotes seront portées à la connaissance des autorités. Le parlementaire a également promis de saisir l’Exécutif par le canal du ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur et, au besoin, d’impliquer l’Assemblée nationale afin qu’une solution soit trouvée à leur situation.
En effet, Le Pop rapportent qu'on a refusé le sésame à certains dont le visa avait expiré et à d’autres qui avaient renouvelé le passeport. Conséquence : ils sont bloqués à Brazzaville. Raison pour laquelle, ils interpellent les autorités sénégalaises pour qu’elles envoient une délégation auprès du Président Kabila afin de lever les équivoques d’autant plus, disent-ils, qu’il règne une atmosphère de suspicion, de méfiance ambiante qui frappe les Sénégalais dans ce pays où les premiers goorgoorlus émigrés sont arrivés bien avant les indépendances et où ils n’avaient jamais eu de problèmes auparavant. Ces émigrés qui ont pris la parole, lors de cette rencontre, veulent que les autorités sénégalaises expliquent à leurs homologues de la Rdc que « Y en a marre » ne représente pas le peuple sénégalais et que tous les Sénégalais ne sont pas des subversifs. Ils estiment donc que, si l’Etat a pu déployer tant d’efforts pour tirer d’affaire les responsables de « Y en a marre », dont ils disent que la démarche ne milite pas en faveur des intérêts des compatriotes en Rdc, il doit pouvoir intervenir en faveur des émigrés laborieux.
A noter que la Première Dame, Marième Faye Sall, n’a pas pris la parole au cours de la rencontre. C'est le président du groupe parlementaire de la majorité, Moustapha Diakhaté, qui s'est exprimé en son nom. Il a promis que les doléances de nos compatriotes seront portées à la connaissance des autorités. Le parlementaire a également promis de saisir l’Exécutif par le canal du ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur et, au besoin, d’impliquer l’Assemblée nationale afin qu’une solution soit trouvée à leur situation.